
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Recherche et innovation
Le concours d’aide à la création d’entreprises de technologies innovantes
15 avril 2003
Pour la cinquième année consécutive, le "concours national d’aide à la création d’entreprises de technologies innovantes", organisé par le ministère délégué à la Recherche et aux nouvelles Technologies, est ouvert aux candidats réunionnais, sans limite d’âge, quelle que soit leur situation.
Les candidats ayant déjà participé à ce concours peuvent renouveler leur candidature. Si vous avez un projet innovant et l’envie de créer une entreprise, vous pouvez concourir dans deux catégories : "projet en émergence" ou "création-développement", en retirant votre dossier à la DRRT (02 62 92 24 40) ou à l’ANVAR (02 62 29 48 88).
La première catégorie concerne « les projets encore au stade de l’idée, nécessitant une phase de maturation et de validation », la seconde concerne les projets « plus avancés, se situant juste en amont de la création d’entreprise ». Vos dossiers doivent être rendus avant le 6 mars 2003.
Ce concours commence par une sélection par un comité régional, puis les dossiers retenus sont envoyés au jury national. Une conférence de presse a eu lieu la semaine dernière pour présenter ce concours. Il s’agissait pour le délégué régional de l’ANVAR Réunion, Jean Terazzi, et pour Patrick Hervé, délégué régional à la recherche et à la technologie de La Réunion, de « mobiliser rapidement ce qui ont des idées aujourd’hui » et de mieux faire connaître ce qui reste la plus grande opportunité du genre.
Ils expliquaient que ce concours, créé en 1999, est devenu « une pièce majeure du dispositif gouvernemental de soutien à l’innovation ; il s’inscrit de manière cohérente et efficace dans l’ensemble d’aides à la création d’entreprises innovantes ».
Le concours est doté d’un budget de 30 millions d’euros, avec une participation du Fonds social européen et de l’ANVAR. Au-delà du soutien financier qu’il apporte aux lauréats, son originalité et son efficacité résident dans l’accompagnement qu’il leur offre : aide juridique, mise en relation avec le réseau des 31 incubateurs publics et des 13 fonds d’amorçage répartis sur l’ensemble du territoire français, rencontres périodiques avec les investisseurs.
Au total, en France et Outre-mer, en quatre ans, 6.650 porteurs de projets ont participé au concours, 1.002 projets ont été soutenus, dont 568 en émergence et 434 en création-développement. À ce jour, 500 entreprises ont été créées, représentant plus de 2.800 emplois.
Ce concours est aujourd’hui un label d’excellence pour les lauréats et favorise leur accès à des financements et des partenariats privilégiés. Il constitue un soutien essentiel et reconnu en faveur de la création d’entreprise de technologies innovantes. Les projets distingués couvrent l’ensemble des secteurs économiques, tels que les biotechnologies, la pharmacie, les services informatiques, l’électronique et les télécommunications, mais également les secteurs plus traditionnels comme la mécanique, la chimie et les matériaux.
Les lauréats ont droit à une subvention pour financer leur projet. En outre, des prix spéciaux seront décernés aux trois projets les plus prometteurs de l’année et aux deux meilleurs projets portés respectivement par un thésard et un jeune diplômé.
À La Réunion, selon les années, les candidats sont moins de dix ou approchent la vingtaine. Des projets, comme le premier cyber-bus, ont pu se faire connaître et se structurer grâce au concours. En 2002, deux dossiers avait été retenus dans le pays, un seul a été primé par le jury en France dans la catégorie "émergence". Il s’agit du projet "Prises d’escalades intelligentes multicapteurs" de Éric Delcher. Il s’est vu accorder une aide d’un montant de 16.600 euros.
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