À 20 heures 25 sur le Canal 25 de Parabole Réunion : ’L’homme qui tua Liberty Valance’

Un des 3 plus grands Westerns de tous les temps

22 novembre 2006

Western de John Ford. Avec : James Stewart, John Wayne, Vera Miles, Lee Marvin...

Un homme politique reconnu, Ransom Stoddad, assiste à l’enterrement de son ami Tom Doniphon, avec sa femme. C’est pour lui l’occasion de revenir avec un journaliste sur les moments importants de sa vie, notamment son arrivée dans l’Ouest, l’arrestation de sa diligence par le célèbre bandit Liberty Valance, sa volonté de se venger de celui-ci. Jadis, Doniphon était devenu son allié...

Je ne vais pas vous gâcher la soirée totalement et je recommande, pour ceux qui ont la chance d’être abonnés à Parabole Réunion, de zapper illico presto sur le canal 25 pour regarder un des trois plus grands Westerns de tous les temps. Eh oui ! Pour moi, il y a trois westerns incontournables "Le Train sifflera trois fois", "Règlement de compte à Ok Coral " et " l’Homme qui tua Liberty Valance".
Ce soir, c’est ce troisième que je vous conseille. Laissez parler les ennuyeux, ceux qui ont toujours à redire contre ce genre de film, car sachez que cette œuvre, est parfois étudiée dans les écoles, même françaises. Ce film de John Ford est la représentation de deux idées fortes : Le courage et la lâcheté.
Il est pour moi à mettre au panthéon du cinéma mondial, et croyez-moi, ce que je vous dis est vrai. Je vous signale une particularité tout de même, c’est la première fois qu’on a eu l’idée de filmer la scène d’un duel simultanément, sous deux angles différents. Je ne vous dirai pas pourquoi puisque vous le comprendrez par vous-mêmes en regardant "l’Homme qui tua Liberty Valance". Il est à noter aussi que ce film reprend quelque peu la philosophie du "Train sifflera trois fois" : un homme seul, face à son courage, regardant les autres baisser la tête sans réagir.
Pour vous aiguiller un peu plus, je vous suggère d’imaginer un bus plein de monde et un voyou qui agresse un peu tous les passagers. Que se passe-t-il ? eh bien, c’est cela la philosophie du film. Je vais revenir un jour sur ce chef-d’œuvre, et une fois pour toute, le décortiquer pour vous, bien qu’une rubrique n’y suffirait pas ! Qui sait ! peut-être un jour me laissera-t-on une double page western, pour qu’enfin, je m’explique sur ce genre dit "mineur". Humm ! Je vois déjà le "rédac chef qui fronce les sourcils" !
Alors bon film et surtout penchez-vous bien sur cette histoire, car je n’ai pas fini de vous en parler.

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