
Fermeture pour cause d’inventaire
1er octobre 2015, parTout le monde se souvient de l’anamorphose du crâne en forme de sexe féminin d’Holbein (à moins que cela ne soit le contraire). La nouvelle de (…)
"C’en est trope !" est une chronique littéraire hebdomadaire qui a pour volonté de faire le lien entre l’actualité et la littérature. Le trope en rhétorique désigne les figures qui détournent les mots de leur sens propre : métaphore, ironie, ou comparaison... "C’en est trope !" car la littérature, la bonne, est métaphore ironique de la Vie. Mais le trope dit et ne dit pas, il est et n’est pas : il dérobe toujours, car en philosophie, il est l’argument qui démontre l’impossibilité d’atteindre la vérité.
Tout le monde se souvient de l’anamorphose du crâne en forme de sexe féminin d’Holbein (à moins que cela ne soit le contraire). La nouvelle de (…)
L’expression « Français de souche » m’a toujours donné la gueule de bois. À d’autres, ce pousse-café : à ceux qui s’en gargarisent. Ce que (…)
Francis Yard est un peu le hameçon auquel est accroché le fil du topos, qui le dévide, fil d’Ariane unissant la mortelle Arachné à l’énervée (…)
Le chef coutumier du village palikur de Tonate-Macouria me disait que, récoltant les contes anciens, il se trouvait comme confronté aux pièces (…)
J’ai toujours pensé que les « deux fripons » du conte d’Andersen, « Les Habits neufs de l’Empereur » étaient, en dépit de l’insistance du (…)
Michel Tournier a donné une histoire à un vieil air lunaire composé par Lully (dit-on), le compositeur attitré paradoxalement du Roi Soleil. Ce (…)
Superpositions continuelles de plans, d’atmosphères sonores contradictoires : Enfer et Paradis mêlés, rêve et réalité ; chanson et cris se (…)
En 1921, Gustave Coquiot dans l’ouvrage qu’il consacre aux « Indépendants (1884-1920) » décrit, dans ce style artiste-relâché qui était le sien, (…)
Le contenu dépouillé de la Correspondance de Charles Angrand, dévoile, en réalité, tout un maillage de relations communes autour de la figure de (…)
Quelle mouche piqua le poète rouennais Francis Yard quand il fit de Angrand le dédicataire de son poème « Clair de lune » qui figure dans le (…)
« Vous n’allez pas recommencer à faire des histoires ?, me lança l’avocat… Je vous l’ai dit mille fois : la loi précède l’essence ; la loi précède (…)
Le noir, des cris, des explosions, la panique, un mot revient : « UN ŒIL !… UN ŒIL », « AN EYE ! », c’est de l’américain, pas du niakwé. C’est (…)