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16 avril 2010
Actuellement se déroule la Semaine de la Presse à l’école. Et dans l’éditorial de ce mercredi 14 avril, "Témoignages" a donné avec raison un exemple concret sur les discriminations auxquelles se livre RFO, en posant la question de la "liberté" de ce média officiel.
Cette Semaine devrait donc être une occasion pour le service éducatif d’aider les élèves à développer leur esprit critique à l’égard du pouvoir médiatique, qui détermine en grande partie notre vivre ensemble, comme le font également le pouvoir économique et le pouvoir politique.
Je laisse les élèves et tous les acteurs du monde éducatif juges de la façon dont ce travail est effectué. Mais on voit tous les jours à quel point il est important de cultiver l’esprit critique chez les citoyens dès leur plus jeune âge, afin de leur donner les moyens d’analyser comment fonctionne notre société et comment l’améliorer.
Discrimination contre "Témoignages"
Regardons quelles sont les priorités quotidiennes dans la plupart des journaux, radios, télévisions et moyens de communication des nouvelles technologies dans l’espace médiatique à La Réunion. Analysons la place qu’y occupent la publicité, les infos du monde des affaires (tout-automobile, spéculation immobilière et foncière, PMU, etc.), les diversions, distractions et polémiques calomnieuses, les soutiens plus ou moins camouflés aux catégories sociales dominantes et à leurs intérêts de classe.
À l’inverse, quelle est la place accordée par ces médias aux personnes victimes de ce système politico-économique injuste ? Et que font-ils pour combattre un tel système en soutenant les luttes de libération du peuple réunionnais ?
Par ailleurs, que penser des discriminations quotidiennes auxquelles se livre chaque matin Radio-Réunion dans sa revue de presse à l’encontre de "Témoignages" ?
Une image négative des Réunionnais
Il suffit de voir l’image négative des Réunionnais donnée généralement par la presse bourgeoise et même par le service public d’information. Leur priorité c’est les faits divers et les affaires judiciaires, où les Réunionnais les plus pauvres sont présentés avant tout comme des voleurs, des violeurs, des trafiquants et autres délinquants.
Par contre, il n’y a rien ou presque rien dans ces médias sur les injustices imposées à ce peuple colonisé ni sur les luttes que celui-ci mène pour un développement durable, humain et responsable. Voilà pourquoi ces questions cruciales demeurent : à quoi servent les médias ? Au service de qui et de quoi sont-ils ?
Laurent Sparton,
Le Port
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