Chère Anick,

20 janvier 2006

J’ai lu le billet de Raymond, avec la même réaction.
Alors, pour nous Anick, continuez à parler de Claude, avec la fierté qui est la vôtre, et c’est aussi la mienne, car il est de ceux qui font la différence entre les hommes et les mesquineries du quotidien, et j’ose le dire, vous-même êtes estimée pour cela, en plus de votre compétence.
Des êtres de cette valeur, heureusement, car ils sont aussi impliqués politiquement, donnent toute leur consistance à l’action, à quelque niveau qu’ils s’investissent, et c’est tout à leur honneur de montrer à d’autres cette nécessaire différence, ce nécessaire recul qui rendent toute leur crédibilité à leurs actes lorsqu’ils entrent en relation avec les autres.
Gardez votre sourire et votre franc parler, nous en avons besoin.
Et sachez que vous n’êtes jamais seule à penser à lui .
À bientôt, Claude.

 Zakir Houssen


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