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13 mars 2020, par
Un patient, dit « de Londres », atteint du SIDA depuis 2003, est en rémission depuis trente mois consécutifs. Les médecins ne détectent plus de virus dans son corps, ce serait le deuxième à guérir du SIDA, dix ans après le patient dit « de Berlin ».
Ce « patient de Londres » a subi une greffe allogénique de moelle osseuse afin de soigner son cancer. Rappelons que les cellules souches hématopoïétiques sont à l’origine des cellules sanguines, globules rouges et globules blancs. Ce patient était également porteur du VIH. Or. Les cellules souches greffées étaient issues de donneurs porteurs d’une mutation génétique rare, CCR5, qui bloque l’implantation du VIH. Certaines personnes présentent en effet naturellement cette mutation et sont donc protégées d’une infection du VIH, ainsi ce patient fut-il soigné et guéri du VIH, ce qui constitua une énigme pour les chercheurs !
Il faisait partie du groupe de volontaires du projet « Icistem ». Le consortium IciStem est composé d’un panel d’experts européens, d’hématologues, de spécialistes des maladies infectieuses, de virologues et d’immunologues ayant une expertise dans le domaine du VIH. Il étudie la greffe de cellule souche comme traitement contre le SIDA. Le premier patient déclaré guéri du SIDA en 2011, le « patient de Berlin », avait reçu le même traitement que celui de Londres. Le deuxième patient déclaré guéri du SIDA, le « patient de Londres », avait reçu le même traitement que celui de Berlin.
Les informations portant sur ces deux patients, relatées par le site « Futura sciences », réf ci-dessous, [1], devraient éclaircir nos cieux quelque peu assombris par l’épidémie du coronavirus, bien que pour le VIH les chercheurs se refusent à chanter victoire trop vite. Nous ne devons toutefois pas dissimuler ces avancées qui devraient procurer quelques espoirs.
Nous pensons évidemment aux travaux de Jean-Pascal Capp - faisant suite, en France, à ceux de Nicole Le Douarin -, voir : Les cellules souches, porteuses d’immortalité, (2007), dont nous avons fait état [2]. Et ce, tant à propos de : « Un nouveau regard sur le cancer », (2012), que d’un second ouvrage sur « Nouveau regard sur les cellules souches », (2019). Ces deux patients guéris devraient donner raison à Jean-Pascal Capp d’avoir approfondi les liens entre cancer, SIDA et autoguérison par la sollicitation des cellules souches et leur capacité régénérative.
Les cellules souches pourraient-elles également réparer une moelle épinière endommagée ? Celle-ci fait partie du système nerveux central ; endommagée, les liens entre le corps et le cerveau se trouvent altérés. Jusqu’à présent, une lésion de cette partie du corps laissait peu d’espoir de guérison. D’autres pathologies potentiellement candidates à régénérescence sont envisagées du fait d’une pathologie, de tissus lésés ou de maladies dégénératives chroniques. On pensera également au diabète.
Il est probable que ces nouvelles perspectives en médecine régénérative (très techniques) ne feront que renforcer la culture de l’hôpital en tant que « nouvelle industrie » présentée et critiquée par le chirurgien Stéphane Vélut [3]. Serait-il possible de concevoir deux cultures, celle induite par les progrès scientifiques et technologiques exposés par Vélut, et une autre culture hospitalière, celle-ci humaniste, où les sciences humaines féconderaient les sciences biologiques selon une logique transdisciplinaire où le patient deviendrait « sujet » ?
Dans un prochain courrier, nous imaginerons une cordée de scientifiques issus de différents horizons de la recherche fondamentale et appliquée qui tentera de circonscrire une approche hospitalière humaine, compatible et complémentaire de cette « nouvelle industrie », en situant le malade au cœur de l’hôpital acteur de ses soins.
Frédéric Paulus CEVOI (Centre d’Etudes du Vivant de l’Océan Indien)
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