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23 février 2013
Dans un précédent courrier, nous suggérons d’associer la santé et l’éducation dans un nouveau ministère associant les parents comme acteurs essentiels de l’éducation et de la santé de l’enfant. Ce ministère serait dissocié du Ministère des Affaires sanitaires et sociales, qui retrouverait cette appellation, et du Ministère de l’Éducation nationale, qui deviendrait Ministère de l’Instruction publique pour un recentrage de ce dernier sur la noble tâche de l’Instruction. L’éducation implicite qu’apportent les enseignants, surtout dans le Primaire, ne pouvant pas se substituer à l’apport parental. Il y a une humilité à trouver.
Une meilleure connaissance des besoins fondamentaux des enfants guidée par les sciences peut être de nos jours accessible aux parents. Les thèmes portant sur la santé des enfants, leur réussite et pas uniquement scolaire pourraient plus facilement se déduire. Un changement profond dans ce sens toucherait dans un premier temps des parents déjà réceptifs a priori et, simultanément, il nous faudrait penser des « stratégies » pour toucher le plus grand nombre de parents.
Le seul fait de dissocier la réussite scolaire, dépendante en grande partie de l’école, de la réussite éducative (psychologique, émotionnelle et relationnelle), dépendante en grande partie des parents et de la famille élargie, pourrait structurer l’émergence d’une demande des parents à une meilleure connaissance des besoins de l’enfant en général et, par déduction, de leur enfant en particulier. Tout en gardant à l’esprit que chaque enfant est unique… Ainsi pourront s’établir des liens entre éducation et santé, deux valeurs essentielles à la vie et tout autant mobilisatrices des parents…
Concernant la santé, les médecins sont pour une part minime impliqués dans la prévention et la promotion de la santé globale de l’enfant, alors que l’essentiel de leurs activités s’exerce sur la lutte contre la maladie, et l’obtention d’une guérison finalement partielle. Distinction doit être faite pour les pédiatres réellement impliqués dans une prise en charge globale de la santé de l’enfant et les services de PMI eux aussi censés œuvrer dans une optique de prévention. Le grand changement de perspectives que nous proposons est celui de reconnaître que c’est bien naturellement sur les parents que repose la santé de l’enfant, et cela, dès sa conception.
Régulièrement, des découvertes fondamentales démontrent la période critique que constituent les premières années de la vie. Ces découvertes scientifiques prouvent les influences implicites, tant génétiques que sociales, qui interfèrent d’une manière masquée dans la santé et l’éducation de l’enfant. Cette influence s’établit trop souvent à l’insu de la conscience des parents et du bébé qui, en plein développement, est donc très sensible aux messages qui risquent de le rendre vulnérable durablement dans sa santé et son psychisme.
La science du bébé, l’étude de son développement ne pourraient-elles pas se transmettre par tous les canaux de diffusion de l’information, rendant ainsi consciente cette notion si essentielle de « périodes critiques » à préserver pour garantir un meilleur équilibre des nouvelles générations ?
Un des premiers actes fondateurs de ce nouveau ministère serait d’impulser un large débat sur les besoins de l’enfant afin de reconsidérer les soubassements des cultures qui entourent l’enfant dès sa conception.
Souhaitons que l’adhésion de parlementaires de La Réunion, dont nous ne doutons pas, rencontre sur ce sujet l’approbation de leurs collègues parlementaires de métropole. De nouvelles perspectives de « refondation » de l’éducation et de la santé liant générosité à l’égard des parents et politique de prévention et d’économie de la santé pourraient s’initier alors en prenant en compte la richesse des diversités culturelles de chaque territoire. La Réunion apporterait ainsi sa contribution à la recherche d’innovations
Frédéric Paulus, Bruno Gavarri et Marc Poumadère (Saint-Denis)
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