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11 juillet 2020, par
Nous avons émis des déductions et hypothèses concernant le phénomène de « désymbiotisation ». Elles lèvent possiblement l’énigme du (des) cancer(s). Avant de solliciter les spécialistes de la cancérologie afin qu’ils se prononcent sur leur crédibilité, il est préalablement nécessaire de définir la notion de symbiose car ce terme exosymbiose évoque un mouvement opposé. La symbiose (du grec sýn, ensemble et bíos, vie) est une association durable entre deux organismes hétérospécifiques. La durabilité de l’association est relative et recouvre une part significative de la durée de vie d’au moins un des deux organismes.
La symbiose peut être une relation mutualiste dans laquelle les deux organismes tirent bénéfice de l’association. À notre niveau d’investigation, il s’agit de l’association des bactéries qui ont été intégrées ou compactées aux cellules monocellulaires puis aux cellules dites eucaryotes, telles celles des plantes, des animaux et des humains. Dans cette intégration, comme les bactéries, les mitochondries en tant qu’organites intracellulaires ont conservé leur ADN au sein des cellules eucaryotes. Nous savons que le phénomène de cancérisation touche aussi les plantes… Pour le neurobiologiste spécialiste des plantes Stefano Mancuso : « Comme les bactéries, les mitochondries possèdent un ADN circulaire à double hélice, enfin elles peuvent procéder à une division autonome par scission binaire », p. 146, in, L’intelligence des plantes, [1]. C’est ce qui semble se passer avec la réaction exosymbiotique conduisant au cancer. Ces organites, les mitochondries, sont essentielles pour la cellule eucaryote car elles transforment l’oxygène conduit par le sang, (pour les animaux), en énergie ; on les compare volontiers à des centrales électriques.
Lors de l’exosymbiose, les mitochondries se désolidariseraient de la cellule, entraînant d’autres mitochondries et cellules de façon anarchique. Elles quitteraient l’environnement cellulaire jugé insatisfaisant pour la vie cellulaire par réaction de survie. Et ce, tout en entraînant potentiellement, par effet de prolifération, l’organisme dans sa totalité vers la mort. Pour en savoir plus, [2].
Extraites d’un foyer cancérigène, elles sont immortelles en boîte de culture. Le phénomène de cancérisation ne devrait pas être considéré comme une maladie touchant sélectivement un organe ou un tissu, car cette « pathologie » est nomade. Touche-telle les cellules eucaryotes sélectivement, tant les plantes, les animaux et nous autres humains ? Apparemment oui.
Dans notre hypothèse, elles se désolidariseraient d’organismes ontogénétiquement affaiblis du fait d’un mode de vie insatisfaisant pour leur survie. Par contre, LA BONNE NOUVELLE serait qu’une lecture qui crédibiliserait cette vision conduirait la médecine à envisager l’approche des « patients » autrement, en recherchant leur participation à changer de mode de vie, de valeurs, d’alimentation, de psychologie, etc. Pour le biologiste directeur de recherche au CNRS Michel Raymond, [3], de l’équipe « Biologie évolutive humaine » à l’Institut des sciences de l’évolution de Montpellier, « Plus la médecine s’éloigne des patients et oublie cette attention à l’autre pourtant à l’origine de la pratique médicale, plus elle perd son pouvoir de guérir ».
Frédéric Paulus, Directeur du CEVOI (Centre d’Etudes du Vivant de l’Océan Indien)
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