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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Un gaspillage à la hauteur de l’horreur du crime commis
26 mars 2003
Le président américain George W. Bush a officiellement demandé, hier, au Congrès un collectif budgétaire de 74,7 milliards de dollars pour financer la guerre contre l’Irak, et ce n’est qu’une rallonge. Cela veut dire qu’une somme beaucoup plus importante sera engloutie dans la conquête des puits de pétrole et le massacre du peuple irakien.
Cette rallonge se décompose en plusieurs postes : notamment environ 63 milliards pour les militaires américains, près de 8 milliards pour des dirigeants complices comme ceux d’Israël ou d’Afghanistan et enfin, 2,45 milliards pour la reconstruction de l’Irak. Sur ce dernier point, l’argent ne sortira pas probablement des États-Unis (voir encadré).
Selon un responsable du Pentagone s’exprimant sous le couvert de l’anonymat, les 63 milliards demandés pour la guerre elle-même sont basés sur l’anticipation d’une « période de conflit relativement courte, très intense ». Par comparaison, la guerre du Golfe menée de janvier à février 1991 pour chasser les troupes irakiennes du Koweït, avait coûté l’équivalent de presque 80 milliards de dollars actuels, dont une très grande partie avait été prise en charge par des pays de la coalition réunie à l’époque.
Toujours selon les mêmes sources, au bout du compte ce sont les ressources pétrolières de l’Irak qui paieront la reconstruction du pays. Cette demande de fonds supplémentaires intervient alors que les services budgétaires du Congrès (CBO) ont nettement révisé à la hausse leur projection de déficit des finances publiques pour 2004 qui devrait passer à 338 milliards de dollars. Le budget 2003 (octobre 2002/septembre 2003) table sur un déficit de 304 milliards de dollars.
Le Sénat américain avait adopté vendredi un amendement baissant de cent milliards de dollars le montant des réductions d’impôts envisagées par l’administration Bush, pour couvrir le coût de la guerre et de ses suites.
La reconstruction : un marché réservé aux entreprises américaines ? |
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L’Agence américaine pour le développement international (USAID) a annoncé lundi qu’elle avait signé un contrat de 4,8 millions de dollars (4,51 millions d’euros) avec l’entreprise Stevedoring Services of America (SSA) pour l’évaluation et la gestion des activités du port irakien d’Oum Qasr.
Selon USAID, Oum Qasr, la seule ouverture sur la mer de l’Irak, est un élément majeur de l’infrastructure économique du pays et doit jouer un rôle important dans l’acheminement de l’aide humanitaire, une fois la guerre terminée. Le contrat conclu avec cette société basée à Seattle ne représente qu’une infime partie des milliards de dollars prévus par l’administration américaine pour la reconstruction de l’Irak. De nouvelles annonces sont attendues dans les prochains jours. |
Des manifestants américains s’en prennent à des amis de George Bush |
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De nouvelles manifestations pour la paix à San Francisco en Californie ont eu lieu lundi à l’université et dans le quartier financier de la ville où 130 personnes ont été interpellées. Quelques centaines de manifestants ont bloqué les portes d’entrée d’un gratte-ciel, le "Transamerica", image de marque de la ville et siège d’une puissante société liée aux activités de défense le "Carlyle Group", accusé par les manifestants de tirer le plus grand profit de la guerre. Ce groupe est contrôlé par plusieurs responsables de la Défense et de la Sécurité et a des liens étroits avec le président George W. Bush et d’autres responsables de son administration. |
Le pétrole du Sud irakien n’est pas encore tout à fait américain |
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L’espoir d’une population chiite accueillant à bras ouverts les soldats américains dans le Sud irakien a vite volé en éclats. Non seulement la défense irakienne ne s’est pas effondrée tel un château de carte, mais les poches de résistance ont contraint la puissante armée américaine à modifier ses plans de guerre en contournant plusieurs villes.
Et ce contournement, qui voit les blindés américains foncer vers Bagdad, se double d’un étirement des forces de la coalition, exposant plus encore les unités de logistique aux attaques comme celle qui s’est soldée par la capture de cinq d’entre eux, le week-end dernier près de Nassiriyah, et la mort vraisemblable de neuf autres. Que ce soit à Bassorah, deuxième ville du pays, Nassiriyah, le port stratégique d’Oum Qasr ou encore Roumeïla et Az-Zoubaïr, plusieurs soldats américains et britanniques ont payé de leur vie cette guérilla résiduelle mais meurtrière. A la sortie de Bassorah, des forces irrégulières irakiennes ont ainsi tenu lundi à distance les forces britanniques à coup de mortiers et de lance-grenades RPG. Plus au sud, à Az-Zoubaïr, un soldat britannique a perdu la vie dimanche soir alors qu’il tentait de calmer une foule en colère, a rapporté un correspondant du "Daily Telegraph". Un autre journaliste, du quotidien "The Scotsman", a signalé que les obus de mortier n’avaient cessé de pleuvoir lundi près de Bassorah, entraînant la réplique des chars et des véhicules de combat blindés des Black Watch et des Royal Scots Guards. Dans les champs pétrolifères de Roumeïla, considéré un temps comme sûrs, des forces irakiennes insaisissables ont tendu une embuscade à une unité britannique. D’après des pilotes d’hélicoptères de combat Cobra revenant de mission à Nassiriyah, des civils en armes ont ouvert le feu sur leurs appareils, sans les toucher. Enfin, dans le port d’Oum Qasr, les combats se poursuivaient lundi, empêchant toujours le débarquement de renforts américains. Cette résistance est sans doute sporadique, mais elle est parfois acharnée. |
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