
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
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9 janvier 2018, par
Le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer a missionné Boris Cyrulnik, le célèbre neuropsychiatre, pour réformer l’école primaire.
Pardon pour mon manque de discrétion mais en 1987, dans un livre initialement intitulé « La santé et les besoins essentiels de l’enfant », avec comme sous-titre « Pour une éducation fondée sur les sensations » j’évoquais dans une section du dernier chapitre 5 le thème de :
Peut-on sauver l’école ?
« La façon d’être, de penser et d’agir d’un enfant dans une école doit être évaluée et comprise notamment en fonction du nombre d’enfants de sa classe. Dans une classe trop chargée, l’enseignant se fabrique un personnage pour pallier les/aux pesanteurs administratives qui pèsent sur lui et dissimuler ses propres limites face à la turbulence des enfants. Il aura très vite recours à des positions arbitraires et à une pédagogie rigide ou relativement rigide quelquefois camouflée par des alibis ou des mystifications pédagogiques. Dans ces conditions de vie scolaire l’enfant apprendra vite la soumission à un ordre institutionnel quelquefois légitimé par un « projet pédagogique ».
Tout projet de réorganisation de la vie scolaire passe par un soutien des enseignants de la part des parents parce qu’ils auront compris l’enjeu de l’éducation. Une réforme remet non seulement en cause la finalité de l’école, l’idée que l’on se fait de l’éducation primaire, mais implique également une augmentation des ressources financières allouées à l’Éducation Nationale ». On ne pourra parler réellement de « La joie à l’école » (Georges Snyders, 1987) qu’après avoir procédé à une telle réorganisation. »
30 ans plus tard, Boris Cyrulnik s’inspirera de la méthode de l’attachement, axée sur le langage, le comportement et l’attitude de l’enseignant envers l’enfant.
Selon le ministre : « L’école maternelle doit donner à l’enfant l’appétit d’apprendre (…) Elle doit devenir une locomotive pour toute l’école, synonyme de bonheur et non d’angoisse. Une école de la confiance. »
Comment l’institution n’y a-t-elle pas pensé plus tôt ?
Frédéric Paulus, CevOI
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