
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
24 septembre 2022, par
C’est le sujet le plus grave de la condition mortelle. Tous les êtres vivants doivent mourir. Mais comment ?
L’humain est le seul être mortel à pouvoir choisir sa mort. Cela est unique au niveau de la nature. Donc la question est simple : ai-je le droit de choisir ou dois-je me plier au déterminisme, qu’il soit pathologique, religieux, ou de la loi en vigueur ?
La réponse interpelle la liberté humaine, est-ce que je mets ma liberté au service de la loi, ou, dans ce cas précis, je peux m’octroyer une décision personnelle ?
C’est une question philosophique, et pour ma part, je veux rester libre jusqu’au bout. Si je décide de mourir, j’ai le droit de le faire, car mon état de santé le justifie. Si je ne peux plus assurer mes fonctions vitales, les plus élémentaires, ne plus pouvoir respirer, me nourrir, et surtout, ne plus être en mesure de choisir la vie que je veux mener, je suis libre de partir de cette vie.
Évidemment, beaucoup d’arguments me seront opposés : quelles limites à ce vouloir vivre, dans quelle mesure peut-on dire que quelqu’un n’est plus en mesure de choisir sa vie ? Pour cette raison, je pense que la signature d’un accord pour mettre fin à des souffrances, de la part du malade, est la condition indispensable dans la plupart des cas, et dans les autres, que le médecin puisse exprimer son avis, et que la famille puisse confirmer.
Je serai toujours du côté de la liberté du sujet, surtout en ce qui concerne les derniers instants de cette ultime décision. Une vie est toujours l’occasion de multiples soumissions, puisse la mort pouvoir échapper à cette dernière servitude.
Radjah Véloupoulé
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