
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
11 février, par
Le 11 février 2005, la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées était promulguée. Vingt ans plus tard, la scolarisation des élèves en situation de handicap ou avec des besoins éducatifs spécifiques et particuliers devrait être un enjeu majeur de l’éducation nationale. La réalité est tout autre, malgré des progrès nous sommes loin du compte.
Le premier problème que rencontre une famille est la reconnaissance par la MDPH (maison départementale des personnes handicapées) du handicap de son enfant. Il faudra parfois attendre plus d’un an à La Réunion pour que le dossier soit traité quand on sait que dans certains départements de l’hexagone les délais sont de moins de trois mois. Sans ce « graal » l’enfant ne pourra bénéficier d’aides et seuls les enseignants en toute bienveillance pourront apporter un peu d’humanité aux familles souvent démunies. Certes la loi de 2005 a apporté quelques changements positifs et le parcours des élèves à besoins spécifiques s’améliorent, particulièrement grâce aux efforts des acteurs concernés, mais force est de constater qu’il reste beaucoup à faire.
Le manque de moyens humains engendre des situations pouvant relever de la maltraitance.
Un fois notifié par la MDPH, un élève porteur de handicap peut bénéficier d’une aide humaine (AESH), malheureusement, leur nombre est insuffisant. Les élèves auront donc une partie de leur emploi du temps avec une aide et l’autre sans ou plusieurs élèves se « partageront » une ou un AESH.
Autre problème de la prise en charge des élèves avec des besoins particuliers réside dans le manque de formation des enseignants et de tous les personnels des établissements scolaires. Souvent dépassés par des situations difficiles, l’inclusion entraîne alors des difficultés génératrices de stress et d’angoisse pour les enseignants et les autres élèves.
Pour une véritable inclusion, de nombreux leviers doivent être actionnés
Tout d’abord, investir dans la formation des enseignants et de l’ensemble de la communauté éducative afin qu’ils puissent faire face aux défis majeurs de l’inclusion.
Allouer des moyens financiers et humains suffisants pour assurer aux familles le traitement de leur dossier par la MDPH dans des délais raisonnables de moins de quatre mois.
Faciliter la mise en place des Pôles d’Appuis à la Scolarité qui permettront le dialogue entre les professionnels de santé, les familles et les équipes éducatives pour répondre au mieux aux besoins spécifiques de chaque élève.
Lorsque l’inclusion scolaire sera réelle et effective, toute la société sera gagnante. Donnons-nous les moyens de sortir de l’illusion !
Christophe Estève
Mézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
C’est une avancée majeure aujourd’hui pour les Dionysien·ne·s touchés de plein fouet par le cyclone Garance : l’État vient d’ajouter (…)
Macron et son gouvernement cherchent à économiser 43,8 milliards pour soi-disant enrayer l’endettement de l’État.
Mézami zot i koné piman ? Sa lé for mé manz ali la pa toute. Wa gingn in bon poikman d’boush mé sa i arète pa la. Pars aprésa néna ankor lé fré (…)
Le projet de parc éolien en mer au large de La Réunion a été évoqué à plusieurs reprises ces dernières années. Des études et étapes ont déjà été (…)
L’armée française a officiellement restitué le 17 juillet ses deux dernières installations militaires au Sénégal, mettant fin à sa présence (…)
Quelques jours avant la tenue du CIOM à Paris, à Saint-Benoît, une centaine d’acteurs politiques (PS-EELV-PCR-Banian-Ansanm-Place Publique), (…)
Le Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO, réuni à Paris, a décidé de retirer trois biens situés à Madagascar, en Égypte et en Libye de la Liste (…)
La réunion du Comité interministériel des Outre-mer (CIOM) organisée le 10 juillet par le gouvernement à Paris, sans la présence des élus locaux, (…)
Le Comité de suivi des retraites a indiqué dans son avis que "le niveau de vie des retraités est élevé en comparaison européenne et [que] (…)
Madanm Biganbé l’apo fé kui manzé ; misié Biganbé l’apo as manzé-koson. An-minm-tan, tou lé dé i diskit ansanm : « Marsel1 ! Zot i sa fer l’ (…)
Mézami souvan dé foi, pou sète istoir d’maryaz, lantouraz famiye i fé lanmanshman é si lo zanfan , karaktèr lé fèb,ala ké li lé anbarké dann in (…)