
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
21 novembre 2006
C’est à la mode. Il ne se passe pas de semaine sans que le citoyen soit interpellé sur la question des déchets. On nous recommande de trier de façon sélective. Pourquoi pas ? On n’est pas contre ! A condition de savoir clairement ce que nous devons faire.
Rien qu’au niveau d’une famille ordinaire, la production de déchets est très variée. J’ai recherché un organisme qui puisse me donner une liste complète de ce que je dois faire avec mes ordures ou plus exactement ce dont je veux me débarrasser. En vain. On ne trouve que des informations partielles et dans certains cas on n’arrive pas à savoir ce qu’il faut faire.
Ainsi, on peut dresser un petit inventaire "à la Prévert" de ces déchets. Pour les déchets verts ou le verre, c’est facile : ramassage régulier et bornes sont prévus. Pour les papiers et plastiques, c’est le bac jaune (pour la CINOR, en tous cas). Sous réserve d’étudier attentivement la liste de ce qui est autorisé et interdit, c’est facile. Pour les déchets de cuisine et de ménage, c’est le bac gris. Un bac qui reçoit tout ce qu’on ne sait pas trier.
Pour les encombrants, ça se complique car c’est une notion assez vague. En plus, il y a quelques semaines, il était demandé aux familles de ne plus déposer les ordinateurs et autres appareils électroniques "dans le chemin". Ces jours-ci, on nous annonce une écotaxe sur le gros électroménager de façon à ce que le vendeur récupère l’appareil à jeter. Le lendemain, on nous dit que c’est reporté d’un an. Que se passe-t-il en attendant ? Mystère.
Mais que doit-on faire des piles ? des batteries ? des pneus ? des carcasses d’animaux ? des vêtements usagés ? des petites bouteilles de gaz portatives à jeter ? d’une automobile hors d’usage ? de médicaments périmés ? de médicaments non utilisés mais non périmés ? des bouchons bleus de bouteilles d’eau ? Et j’en passe ! Dans notre société du gaspillage, la variété des "déchets" est infinie.
Cette question des tris "tue", au sens figuré du terme. Il y a autant de réponses que de questions. La solution la plus simple et expéditive serait d’utiliser le bac gris comme l’indique le dépliant de la CINOR dont je dépends : « un doute, je le jette dans le bac à couvercle gris ». Mais est-ce bien raisonnable ?
Serait-il vraiment difficile à un organisme comme l’Ademe (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) de dresser une liste complète de tous les déchets possibles et d’indiquer où et quand on peut les déposer, y compris auprès d’associations comme la Croix-Rouge ou Emmaüs qui peuvent être intéressées par des objets dont on n’a plus l’usage. Une liste qui pourrait être mise à jour régulièrement, accessible sur les sites Internet des organismes intercommunaux (Cinor, Cirest, TCO, Civis,...) et déposée une fois par an dans les boîtes à lettres.
De façon à ce que cette question des détritus ne "tue" plus.
Charles Durand
Le Brûlé - Saint-Denis
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