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3 décembre 2005
Qui oserait affirmer aujourd’hui qu’il ne sait pas que la planète Terre est de plus en plus menacée par l’augmentation incontrôlée des gaz à effet de serre ? Qui n’a pas conscience de l’avènement inéluctable de changements climatiques à grande échelle entraînant des conséquences incalculables qui risquent de bouleverser de fond en comble la vie même sur Terre voire de l’anéantir à tout jamais ? Déjà, les dernières grandes catastrophes survenues récemment, par leur ampleur et leur répétition dans le temps, commencent à jeter l’alarme. D’où l’émotion suscitée dans plusieurs pays qui tentent de se concerter pour faire face à la situation et mettre en œuvre des actions communes. Après le Sommet de Rio de Janeiro, au Brésil, en 1992, qui avait fixé très clairement le principal objectif : "stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre de l’atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation du système climatique dangereuse pour l’être humain", la première conférence des signataires du protocole de Kyoto, au Japon, en décembre 1997, qui devait entrer en vigueur en février de cette année, c’est celle de Montréal, au Canada, à partir du lundi 28 novembre, qui regroupe quelque 180 pays. À son programme : le bilan des engagements pris antérieurement et la création de trois fonds internationaux destinés à aider les pays en développement qui sont les plus vulnérables parce que les plus directement menacés.
Mais toutes ces mesures, si elles n’arrivent pas trop tard, risquent d’être lourdement compromises par l’attitude inflexible et égoïste du plus gros pollueur du monde , qui rejette plus de 25% des émissions de gaz de toute la planète pour une population de 4%, à savoir les États-Unis d’Amérique du Nord, dont les émissions ont augmenté de 13,3% en 2003 ! D’où leur refus obstiné de ratifier le protocole de Kyoto comme de prendre une part active aux négociations en cours. Car la raison essentielle évidemment est d’ordre économique. George W. Bush a expliqué sa décision par le coût que représenterait l’ensemble de mesures pour l’industrie : il faut investir dans de nouvelles technologies, augmenter le prix de l’énergie et fermer un certain nombre d’industries, ce qui entraînerait un accroissement du chômage. Remarquez que le fait d’ouvrir de nouveaux secteurs permet aussi la création de nouveaux emplois. Mais ce serait sans compter avec le poids du lobby industriel : n’oubliez pas le rôle considérable joué par les pétroliers texans dans la campagne présidentielle de leur ancien gouverneur ! Depuis, l’économie américaine donne des signes d’essoufflement, le front de l’énergie se fissure, avec entre autres les fameuses pannes d’électricité en Californie en l’an 2000 et les carences du gouvernement pendant le cyclone Katrina dans le Sud de la Louisiane... Trouver de toute urgence du gaz et du pétrole devient pour les États-Unis l’impératif n°1. Le pétrole vaut bien une guerre comme celle de l’Irak, quitte à faire courir le danger à tout le reste de la planète ! Pour satisfaire les besoins en énergie de son pays, conformément à ses promesses électorales, le président est prêt à sacrifier l’avenir du monde. La seule résistance ne peut venir alors que de tous. Et de tous en humanité. En définitive, l’intelligence chaleureuse créatrice de la patrie humaine contre les États même unis sur le Tout marché. Bref contre la raison du plus fort.
Georges Benne et Jean Cardonnel
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