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22 mai 2013
Le thème du bonheur serait-il à la mode si l’on se réfère aux parutions éditoriales récentes (voir l’éditeur O. Jacob) ? Certains auteurs, dont Francisco et Luca Cavalli-Sforza (père et fils), n’hésitent pas à avancer une « Science du bonheur ». Cette science en pleine construction tente de réunir les sciences biologiques des sciences humaines où la psychologie aurait, semble-t-il, la part belle.
L’étude des rêves semble nous rapprocher de cette science, car l’activité des rêves est sous-tendue biologiquement (les mammifères et les oiseaux eux aussi rêvent). Les rêves s’expriment par des images qui, elles, sont “stockées” et donc acquises dans une inépuisable bibliothèque d’images dont le sens n’est jamais figé tel qu’on pourrait l’en extraire d’un dictionnaire. C’est le rêveur qui est son propre dictionnaire et c’est donc lui qui détient le sens de ses images. Nos deux auteurs disent bien : « Nous pouvons nous améliorer de bien des manières, mais chacun de nous est bien tel qu’il est et n’a pas d’autre point de départ que soi-même ».
L’énergie qui sous-tend le rêve est biologiquement déterminée certes, mais le sens de l’image onirique est produit par l’inconscient du rêveur, tel un instinct imageant du rêve d’une personne dans toute sa singularité. Mais attention, l’inconscient dont il est question n’est pas celui de Freud qui nous fait quelques entourloupes, actes manqués, lapsus et autres déconvenues considérées comme telles… Le rêve nous transmet des messages produits par cet inconscient nullement pathogène qui cherche à nous influencer, même si nous n’accédons pas consciemment à ses messages. Par au moins trois fonctions biologiques de transformation ; de compensation, prospective et transcendante, l’inconscient nous influence très souvent à notre plus grand profit : à prendre des décisions, à choisir de nouvelles valeurs, à donner un nouveau sens à sa vie. La restriction du « très souvent » est justifiée par ce que nous avons vécu. Il nous arrive de rencontrer des personnes qui ont souffert d’une éducation qui leur a fait rencontrer les pires épreuves. Et là, souvent, le pronostic est contre toute attente favorable. On a alors l’impression que l’inconscient dans ses racines innées remporte la partie face à des souvenirs et un passé défavorable.
Et le bonheur, me direz-vous ?
A l’heure où les pays émergents, la Chine, l’Inde, le Brésil, la Corée du Sud… se sont engouffrés dans la production de biens matériels qui dopent leurs économies (Lao Tse et Confucius peuvent se retourner dans leurs tombes !), l’Europe, quant à elle, peut se trouver dans la situation (handicapante sur le plan matériel) de rechercher de nouvelles valeurs non matérielles. L’aspiration au bonheur en serait une. La reconsidération de ce qui fait éducation pour l’enfant en serait une autre. La valeur santé également.
Le bonheur n’est pas uniquement dans le pré, il serait en nous. En un autre rapport à la vie, à l’enfant, qui n’a pas choisi ses parents, qui n’a pas choisi la société où il nait. Nous aurions un devoir de responsabilité à l’égard des enfants que nous décidons de mettre au monde. Il nous faut découvrir cette intelligence que la nature a sélectionnée en nous dès la conception de l’enfant. Ainsi nous pourrions découvrir cette aspiration à la joie, au bonheur dont les rêves sont précurseurs. Laissons le dernier mot aux Cavalli-Sforza : « Plus on aime, plus on est capable d’amour, plus on réussit à être heureux et plus on peut l’être ».
Frédéric Paulus
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