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2 février 2013
Personne ne peut le nier : l’alternance politique, acquise après les élections présidentielles et confortée par l’installation d’une nouvelle majorité parlementaire, a signé le retour du débat dans notre société. Ainsi, des questions de société occupent l’espace public : les points de vue divergent, s’affrontent, jusqu’à devenir, parfois, polémiques. Mais enfin, la diversité des idées est de retour, et la parole est désormais libérée du terrorisme intellectuel et de la brutalité des passages en forces qui avaient marqué la période précédente. L’école, priorité affirmée du nouveau gouvernement, est aujourd’hui au cœur des réflexions, des échanges, mais aussi, nous pouvons le constater, des mobilisations.
On ne peut que saluer la volonté affirmée de « refonder » une école massacrée par dix années de droite et cinq années de sarkozisme. On peut aussi souhaiter que les objections formulées par le corps enseignant et les collectivités soient prises en considération. Mais un autre débat doit, à mon sens, être ouvert : celui de la mise en cohérence de la réforme avec les spécificités des territoires qu’elle concerne. Et ce, plus particulièrement, en matière climatique. L’actualité se charge de nous rappeler à cette nécessité : en un mois à peine, deux phénomènes cycloniques ont perturbé le fonctionnement du service public scolaire. On imagine les problèmes posés aux enseignants à partir de ce lundi, s’ils habitent d’un côté de la rivière Saint-Etienne, et qu’ils travaillent dans un établissement situé de l’autre côté, pour ne citer que cet exemple. Or, la saison cyclonique est loin d’être terminée. Notons de surcroît que le phénomène du réchauffement climatique — que plus personne ne nie sérieusement aujourd’hui — accroît fortement le risque cyclonique. A cela s’ajoutent les effets des fortes chaleurs, incommodantes pour les enfants, qui doivent travailler dans des locaux évidemment inadaptés.
A l’heure ou « l’intérêt de l’enfant » est invoqué tant par l’administration que par les représentants de parents d’élèves, n’est-il pas temps de songer à réformer un calendrier qui, hors de toute logique, contraint nos élèves et nos enseignants à travailler lorsque les conditions sont les moins favorables à l’apprentissage et à la compréhension ? La Réunion a connu dans son passé l’application d’un calendrier dit « climatique ». En situant les grandes vacances au mois de décembre et de février, cette organisation du temps scolaire évitait d’exposer les enfants aux plus grandes chaleurs. Elle soulageait l’école et son organisation du risque inhérent à une période marquée par les plus forts risques cycloniques. N’est-il pas temps de réfléchir à nouveau à une organisation adaptée au rythme de la réalité réunionnaise ? Cette question mérite, me semble-t-il, d’être débattue. Rend a nou nout vacance zanvier-février !
Claude Hoarau
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Messages
2 février 2013, 12:51, par MAURICE SINGAINY
vacances ici la renion i doit pa etre kom an frans.
parsk la frans le a 13000 km de nou .
et ke lo kondition klimatik le pa pareil k nou.
an fevrier:_ nou nana la saizon ciklonik
_nou nana in gros chalere,lo temp le tro cho.
bann marmay i gagne pas travail dann condition kom sa.la renion nou le pa plis ,nou le pa moin ,akcept a nou avec nout bann specificiter.
laisse nout kalendrier scolere kom lontan an zanvier ,fevrier
tienbo ansam mr le maire c in bon zafair ke ou soulev .
maurice singainy