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12 janvier 2006
La vérité entre quatre yeux ?
Au moment où la crise du politique, la suspicion envers le pouvoir et les échéances électorales sont monnaie courante, une question redoutable oppose aujourd’hui encore, au Conseil général, la présidente en exercice et un vice-président, sur les contrats précaires...
Le Département peut-il oui ou non embaucher l’ensemble du personnel concerné ? telle est la question en quelque sorte. Politiquement, la réponse est oui ! Financièrement, la réponse est oui ! Juridiquement, la réponse est oui ! Dans ces conditions, il n’y a pas photo entre les deux positions en confrontation.
Questions : Pourquoi les parlementaires n’éclairent-ils pas l’opinion sur cette mise en scène ? Pourquoi laisser l’opinion entre deux regards dissemblables sur notre imparfaite démocratie ? Y a-t-il à se demander qui, de la présidente en exercice ou de son prédécesseur a raison ? Les hommes et les femmes, jeunes ou moins jeunes, concernés par cette affaire méritent mieux que des essais politiciens ! Dans cette affaire, l’un est dans la vérité, avec une analyse sage et admissible, l’autre dans le mensonge et une maladresse notoire ! Pourquoi ? Parce que les arguments du premier (ex-président du Conseil général) sont soutenables aux employés qui redoutent de se trouver au chômage et que le défenseur de cette thèse s’emploie avec pugnacité et âpreté à assumer sa position d’une part, et qu’il ne s’agit pas d’autre part, d’un simulacre ou de trompe-l’œil ! Quant au second (à la seconde), ses arguments sont mensongers, rongent la confiance de sa propre majorité et désespèrent les “contrats précaires en question”.
Dans ce climat actuel de désenchantement à l’égard de la politique de rejet des hiérarques, de censure populaire des rites et des mœurs, les deux antagonistes en question montrent-ils que les politiques aussi ont une âme et un cœur ? La réponse est certes oui pour l’un des deux ! En se penchant sérieusement sur la question, l’on peut dire qu’ils traduisent, chacun à sa manière, une vraie cohérence stratégique et c’est là que s’arrête, net, toute ressemblance, car pour le reste, ils se situent aux antipodes. Auront-ils l’occasion de s’expliquer ? Se justifier aussi ? C’est bien souhaitable ! Car, dans cette affaire, les calculateurs qui ne voient pas qu’il y a d’abord des êtres humains seraient tous des perdants au coucher du soleil ! La présidente du Conseil général va-t-elle surprendre en faisant son examen de conscience ? Son successeur va-t-il prendre le risque de conforter sa position en allant plus loin ? Je ne souhaite pas au Conseil général de se transformer en western politique, mais il y a nécessairement quelque chose d’hallucinant dans le silence des conseillers généraux de la majorité devant une telle situation. Doit-on parler de présomption de malhonnêteté ?
La collectivité peut-elle oui ou non titulariser les “contrats précaires” concernés ?
Doit-on ou non prendre la démonstration du président Poudroux pour argent comptant ?
Pour ma part, au regard des éléments versés et de ce qui a déjà été dit plus haut, c’est une évidence. La réponse est oui ! Il a eu le courage de porter l’assaut contre l’avis de la présidente en exercice et probablement pas au goût de sa majorité ; de plus, il est dans la bonne voie, celle de la raison et du bon sens. Sera-t-il suivi ? Là est toute la question ! Les “Contrats précaires” sont-ils prêts à applaudir ce vaillant cavalier ? Ou alors, vont-ils terrasser le dragon du simulacre et du trompe-l’œil ? Nous le saurons probablement à la rentrée ! S’il s’agit de dresser les uns contre les autres, personnellement, je ne prendrai pas parti. Par contre, l’on peut compter sur moi s’agissant des préconisations au profit des plus exposés, surtout, lorsqu’il s’agira de dénoncer une nomenclature des promesses non tenues et des reniements avérés ! Oui, tous ceux qui, aujourd’hui, se risquent dans des hypocrisies et des tartuferies, des jouissances éphémères du pouvoir peuvent bien se le dire ! Ils ont tort de douter de la capacité de certains à ne pas accepter que la politique ne soit pas réduite à des jeux de pouvoir. De ce point de vue, il y aura toujours des citoyens qui ne feront pas de la figuration ! Que le Conseil général nous persuade que l’image détestable de la politique et des politiques n’est pas toujours conforme à la réalité surprend-il ? Malgré le temps qui passe et qui aurait pu refroidir mon ardeur, je continue mon chemin, avec le même enthousiasme qu’au premier jour. Si je suis suspect à Droite où est ma raison, et à gauche où est mon cœur, je ne règle pour autant pas de comptes et je ne me renie pas non plus !
Samuel Mouen
La tolérance : source de dialogue et d’union
Notre "vivre ensemble" ne peut qu’encourager les initiatives ou les audaces des croyants, des athées, des agnostiques... qui, ensemble ou séparément, essayent de donner du sens à la recherche de l’intérêt général.
Pourquoi en la matière ne pourrait-il pas y avoir des complémentarités entre la raison et la foi ?
Entre raison et foi, il ne devrait pas y avoir de ruptures si, dépassant la raison, parfois, l’arbre d’en face propose ou apporte de bons fruits...
Dans notre société, mal-en-point déjà par manque de communication vraie, nous restons trop souvent figés dans nos certitudes idéologiques ou explosives dans nos crispations affectives ...
Pourtant, nous avons déjà vécu l’expérience de la "Guerre froide" entre le bloc de l’Occident et le bloc de l’Est ! Derrière les États-Unis ou l’U.R.S.S., pour le capitalisme ou le communisme, le monde s’est déchiré et le conflit a étendu ses ramifications. Nous en connaissons encore le prix...
Reconnaissons-le. Nous n’avons pas découvert l’enjeu humain du combat pour la justice sociale que les plus humbles mènent depuis tant de siècles et à travers tant de souffrances et de sacrifices immérités. Les silences des uns restent difficiles à comprendre et les stratégies des autres, une vigoureuse interpellation.
Il y a, heureusement, que les religions de l’Amour ne peuvent rester étrangères aux aspirations et aux luttes de ces classes sans moyens suffisants - sauf le temps d’un vote - face aux théâtres de la représentation politique. Les unes et les autres ne sont-elles pas appelées à découvrir parfois les signes de l’action de l’Esprit et à faire œuvre de discernement ? Certains évêques ont pu en témoigner : "Il y a des éléments importants du marxisme qui ont été assimilés par des travailleurs chrétiens. Ils ne semblent pas incompatibles avec leur foi." - in "Le Monde", 5 mai 1972.
Tout considéré, nous ne pouvons pas plus imaginer Dieu qu’un électron (un constituant universel de la matière) ! Cette incapacité n’est pas une preuve de non-existence puisque nous croyons à l’électron... L’idée de Dieu ne se concrétise pas. Ce qui relève de la connaissance rationnelle ne pourrait-il pas être distancé par l’intuition, voire la foi (sans exclusive) ?
À notre éthique actuelle se succèdent, "ti pas, ti pas", des morales nouvelles face à certaines recherches scientifiques... Comment léguer à l’humanité de nos petits-enfants quelques valeurs communes pour une cohésion sociale, tout en en faisant un facteur de compétitivité et de progrès véritable ?
N’y aurait-il pas, en conséquence des misères et des "progrès", une certaine urgence à "se dépouiller du vieil homme" qui s’est faufilé en nous et qui s’y complait ?
Dans l’intérêt de tous, chacun à sa place, remuons le ciel et la terre pour enfanter des élus, - des vrais -... et... plus nombreux...
Joseph Mondon
(Les Avirons)
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