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18 novembre 2005
TOS : les carottes sont-elles cuites ?
La réponse faite, il y a quelques jours, par le recteur et le préfet, ne souffre d’aucune ambiguïté : un arrêté sera pris pour rendre effectif à partir du 1er janvier 2006 le transfert. Il faudrait un miracle pour que, entre-temps, le projet de loi déposé par Gélita Hoarau soit mis en débat et discuté. Car, d’ici la fin de cette année, le calendrier parlementaire sera occupé par la discussion du projet de budget 2006.
On peut avoir des regrets, désapprouver la manière de faire du gouvernement, mais le moment n’est-il pas venu de dire que, pour les TOS, les carottes sont cuites. D’ailleurs, à l’exception de quelques récalcitrants, la majeure partie de ces travailleurs semble d’ores et déjà accepter le fait. Cette divergence d’appréciation se retrouve au niveau syndical où certaines organisations considèrent que le transfert se fera et appellent à débattre des conditions dans lesquelles il se fera.
Continuer à réclamer comme le font certains de différer le transfert devient sans doute un combat illusoire et risque de se retourner contre ceux qui les mènent. Car au 1er janvier, il y a bien un transfert. Si certains TOS continuent à ne pas l’accepter et invitent les collectivités locales à en faire de même, qui les paieront ? Nous serons en effet dans une situation étonnante : du personnel que l’État transfert vers les collectivités locales, lesquelles sont censés ne pas les accepter. L’État dit : à partir du 1er janvier, ce personnel ne fait plus partie de mon effectif. Si les collectivités n’en veulent pas non plus, ce personnel va se retrouver sans emploi et sans salaire. Ils risquent d’être les dindons de la farce. Et, ceux qui soutiennent contre vents et marées les contestataires passeront pour des irresponsables. Il est temps de réfléchir à cela avant que l’irréparable soit fait.
Alain Jean-Marie
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