
Turbulence à la Mairie de Saint-André
5 juillet, parAprès les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
19 novembre 2004
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Civilisation ou barbarie ?
Ce titre d’un livre de Cheik Antra Diop (édition Présence Africaine) correspond à une situation que nous vivons aujourd’hui à La Réunion, suite à la profanation de tombes dans un cimetière à Saint-Pierre.
En effet, comment une société qui ne respecte plus ses sépultures, donc une partie de son espace sacré, pourra-t-elle envisager son avenir, et surtout faire perdurer le respect inhérent à sa progression ? Un élément de réponse proviendra sans doute du manque de transcendance, de repères, de valeurs, qui caractérisent aujourd’hui les sociétés occidentales. Le matérialisme, tenant lieu d’idole, génère des conduites et des comportements qui érigent chacun en propre créateur de ses références. Or, l’humanité n’est pas une espèce animale qui survit dans un espace dénué de lois (sauf celle de la chaîne alimentaire), mais se doit d’établir une morale élémentaire qui consiste à réfléchir à sa propre fin. La mort est le facteur qui laisse le moins de place à l’inégalité parmi les hommes et les femmes, car chacun sait, ou devrait savoir, (l’aveuglement dans ce domaine est patent) que l’existence est une école qui "prépare à mourir" (Montaigne). De cette lucidité surgiront nécessairement le recul, la distance, le détachement, vertus oubliées dans notre société obsédée par la vitesse et le profit.
Que ces profanations aient été effectuées par des jeunes ou des moins jeunes, l’important n’est pas là. Ce qui inquiète, c’est la marge de violence que nous autorisons en termes physique, psychologique et éthique, sans que nous en prenions conscience. Ce qui inquiète, c’est la détresse animant ces humains, pour qui le mot “Civilisation” ne doit plus exister. Ne laissons pas le nihilisme nous submerger, et retrouvons dans notre tradition réunionnaise, constituée de toutes nos valeurs ancestrales, ce qui nous élève, nous fait coexister, et non nous rabaisser dans une “Barbarie” située au-dessous de l’animalité.
Radjah Véloupoulé,
conseiller régional
Profonde indignation de la Ligue des droits de l’Homme
La Ligue des droits de l’Homme de La Réunion (LDH) s’insurge contre la profanation du cimetière de Saint-Pierre et tient à exprimer sa profonde indignation.
Elle condamne de la manière la plus vigoureuse de tels agissements aussi consternants qu’inqualifiables et elle exprime sa solidarité à l’égard de ceux qui en sont les victimes.
Il est consternant de voir que cet acte de barbarie que le monde dénonce et condamne, touche également notre île où ses habitants de quelque confession qu’ils soient, ont un profond respect pour les morts.
La LDH s’élève avec indignation contre cette insondable bêtise et espère que les autorités judiciaires retrouveront les coupables et prendront les sanctions qui s’imposent.
Au-delà de la répression de tels faits, ce n’est que dans l’affirmation commune de leur refus que nous pourrons faire reculer ceux qui s’y livrent.
La LDH appelle à un sursaut citoyen afin de mettre un terme à de tels agissements.
La Ligue des Droits de l’Homme de La Réunion
Quand le mimétisme tue !
Après la goyave de France, voilà que surgissent des voyous nés dans l’île mais directement inspirés des méthodes nazies qui sévissent régulièrement en France. L’association Rasine Kaf condamne vigoureusement ces actes qui marquent un manque de respect et une profonde immoralité envers nos morts.
À croire que l’effet médiatique créé par de telles exactions racistes est le seul objectif visé.
Un mimétisme qui signe l’errance et la perte de repères de ceux qui ont commis ces actes ignobles, inconscients d’eux-mêmes, de leur propre culture, de leur propre génération, du sens réel de leurs actes.
Accomplir ces actes seulement pour acquérir, l’espace d’un flash médiatique, l’impression d’exister totalement : quelle ineptie !
Quand une société multiculturelle, ancrée dans le respect des morts et des traditions, où les différents cultes pratiqués à La Réunion sont autant de marqueurs d’identité, doit faire face à une telle transgression, on ne peut que demeurer perplexe face à ces énergumènes qui surgissent de nulle part, ces êtres désaffiliés qui n’ont plus que l’errance et le désoeuvrement comme preuve d’existence.
Alors oui, c’est aussi cette société qu’il faut interroger, cette société qui produit de la désaffiliation parce qu’elle a choisi le mimétisme culturel, administratif, juridique voire même vulgairement commercial comme cadre conceptuel et modèle structurant.
C’est aussi cette société qui a fait le choix “d’une éducation nationale” qui foule aux pieds les fondamentaux qui façonnent l’être réunionnais.
C’est encore cette société qui piétine son passé, en pensant trop simplement qu’il suffit d’encastrer la douleur des ancêtres dans des murs de béton ou de l’ensevelir sous des boulevards pour que naisse une nouvelle société vierge de son passé, riche de sa modernité incendiaire, érigée sur le principe de la “tabula rasa”.
Alors oui il faut arrêter le massacre, tous les massacres !
L’injure faite à la langue et à la culture, le massacre perpétué envers les femmes, tous ces enfants qu’on assassine par le viol ou l’abus sexuel, ces jeunes qu’on laisse “sur le black” à force de leur asséner des “instructions nationales” qui ne leur parlent pas.
Oui la société réunionnaise est malade (...)
Quand une société est malade au point de générer en son sein “des imbéciles” qui ont perdu tout sens de respect envers les morts comme envers les vivants, alors il faut se mettre tous autour d’une table et réfléchir ensemble, prêtes et guérisseurs, juges et éducateurs, élus et citoyens, producteurs et consommateurs, à tout ce que nous avons ingurgité jusqu’à maintenant au risque d’être asphyxiés par la boulimie d’un savoir devenu indigeste à force d’extériorité. (...)
Qu’on arrête enfin cette course de vitesse qui laisse sur son parcours tant d’essoufflés, ceux qui ont refusé d’apprendre les codes et ceux qui ont perdu tous les codes. (...)
Ghislaine Bessière,
association Rasine Kaf
L’AMCUR condamne avec force
L’AMCUR (Association pour la maison des civilisations et de l’unité réunionnaise) condamne avec force les inscriptions offensantes portées sur les tombes du cimetière de Saint-Pierre, car cet acte de profanation porte atteinte au respect des morts qui est une valeur essentielle de la société réunionnaise à sauvegarder.
Le Bureau de l’AMCUR
(Page 10)
Retraites : mettre en échec les racketteurs ?
Nous allons le voir, des universitaires, renommés, démontrent dans leurs articles, chiffres à l’appui, que la finalité de la réforme n’était pas de sauver les retraites, mais qu’il s’agissait plutôt d’un "véritable racket" des salariés au profit de la sphère financière internationale.
Nous aurait-on mené en bateau ?
Cette question montre que nous ne sommes pas tout à fait anesthésiés et quelques uns d’entre nous sont prêts a entrer en résistance ! Pourtant, la quasi-totalité des médias, les journalistes côté Neuilly jouant les experts, ont martelé nos pauvres cervelles pour nous faire comprendre, nous les ringards, les demeurés, les syndiqués, que nous devrions travailler plus longtemps, souscrire des compléments de retraites aux compagnies d’assurances privées, si nous voulions jouir plus tard d’une retraite décente car, suprême justification, la population vieillissait !?
Plus sérieusement, qui croire ?
Faut-il croire le gouvernement qui prétend avoir réglé le financement des retraites par sa réforme ou encore Michel Rocard, Charrasse, et d’autres éminences grises dites de gauche qui lui ont apporté leur soutien ? Fallait-il croire Jacques Attali, personnage clé du PS, qui déclarait sur les antennes le dimanche 1er juin 2003 qu’un recul du gouvernement sur les retraites serait "désastreux" ? Faut-il croire encore les multiples articles du “Nouvel observateur” qui tentent de justifier le choix de ces organisations qui, pour quelques verroteries, ont pris le risque de rompre le front syndical ?
Ou bien faut-il croire René Passet, professeur émérite d’économie à l’université Paris-1-Panthéon-Sorbonne, qui dans un article de 6 pages sous le titre "Retraite, sauvetage ou racket ?" (que notre association tient à votre disposition), écrivait ceci : "l’argument démographique sur lequel se fonde la réforme des retraites est dénué de toute valeur. Le rapport du nombre des retraités à celui des actifs ne veut rien dire, ne reprenons pas ici les chiffres manifestement exagérés présentés par le Premier ministre dans sa lettre aux Français. L’ancien commissaire au Plan estimait en 1999 que le nombre de personnes à la charge de 10 actifs passerait de 4 à 7 entre les années 2000 et 2040. En conséquence, nous dit-on, le système va "exploser".
"À ce compte là, on aurait pu en 1945 prophétiser qu’un demi-siècle plus tard, notre pays traverserait la crise alimentaire la plus tragique qu’il ait connu depuis le Moyen ge : alors qu’un agriculteur "nourrissait" 5 personnes, il devrait en l’an 2000 assurer l’alimentation de plus de 50 de nos citoyens (le nombre des agriculteurs est passé de 7 millions en 1950 à 800.000 en 2000).
"Pourtant, non seulement le pays ne manque pas de denrées mais il en exporte. L’augmentation de la productivité agricole a permis l’accomplissement de ce miracle.
"En fait, avec une croissance de 2% par an (elle à été de 2.1% de 1973 à 1996) “les 7 retraités” à la charge “de 10 salariés” pèseraient alors 3.5 au lieu de 4 aujourd’hui... de plus la démographie des inactifs de moins de 20 ans diminuera d’ici 2040, allégeant d’autant la charge..."
Que reste-t-il du problème ?
Alors, qui croire ? La question mérite d’être posée !
Faut-il croire aux arguments de Bernard Friot, professeur de sociologie, habilité à diriger les recherches en économie à l’université Paris X ?
Selon lui, "il est plus facile de consacrer aujourd’hui aux retraites 12% d’un PIB de 1.500 milliards d’euros, qu’il ne l’était il y a 40 ans d’y consacrer 5% d’un PIB de 750 milliards euros. Et il sera plus facile encore dans 40 ans de dépenser pour les retraites 20% d’un PIB qui sera alors de 3.000 milliards d’euros".
En fait, on oublie toujours, quand on raisonne sur l’avenir des retraites, que le PIB progresse d’environ de 1,6 % par an en volume, et donc qu’il double, à monnaie constante, en 40 ans. C’est pourquoi nous avons pu multiplier par 4,5 les dépenses de pensions depuis 1960 (de 40 à 180 milliards) tout en doublant presque le revenu pour les actifs ou l’investissement (de 710 à 1320 milliards) sans que cela empêche le reste du revenu disponible de passer de 1.320 à 2.400 milliards. En réalité de quarante en quarante ans, le doublement du PIB en monnaie constante permet de consacrer de trois à cinq fois plus aux retraites, tout en quasi doublant la richesse affectée aux actifs et à l’investissement, sans recourir à l’épargne financière.
Cela, la classe dirigeante le sait parfaitement et c’est cela qui l’affole, car le financement des retraites par cotisations sociales, prend une dimension subversive, il démontre qu’il est possible de financer à la fois les retraites, d’augmenter le pouvoir d’achat des actifs et aussi l’investissement productif. De plus, il met en pleine lumière le caractère parasitaire de la sphère financière.
Bref, dans le long terme et dans une société au travail aussi qualifiée que la notre, nous pouvons habiller Pierre tout en habillant Paul. À condition que les gouvernements fassent le choix de préserver les grands équilibres et consacrent une proportion importante des gains de productivité aux investissements productifs et à la part salariale, (salaire direct et charges sociales), et qu’ils mettent un bémol au gavage des actionnaires dont les ponctions sur le travail des hommes deviennent de plus en plus parasitaires au point de s’enrichir sur des charrettes de licenciements et à nouveau, en délocalisant, par la surexploitation de travailleurs pauvres, et même des enfants, auxquels ils rackettent la quasi-totalité du fruit de leur travail...
Deux voies s’ouvrent donc à nous :
Soit le gouvernement dit la vérité, en prétendant qu’il a sauvé les retraites, alors, la seule alternative qu’il nous reste c’est d’accepter la régression sociale que cette réforme entraîne.
Soit la démonstration des universitaires est juste, alors il revient aux citoyens de se dresser contre une tentative cynique de détournement de richesses entreprise avec la complicité du gouvernement. Si nous acceptons de subir cela, si nous refusons de reprendre la bataille, le fait accompli restera pour longtemps irréversible et la seule alternative offerte à nos enfants sera d’évaluer l’étendue de notre lâcheté.
D. Le Strat
A.L.E.R.T (Action de lutte contre l’exclusion racket du travail)
Vous avez dit prérogative administrative ?
Le cas d’Ahmed Andhumoudine, étudiant en topographie à l’université de La Réunion, ayant été expulsé vers les Comores où il n’a ni famille, ni ami, pose un problème d’interprétation à la fois de la loi, mais aussi, sur l’exécution de celle-ci : Pourquoi ?
Dans un premier temps, la décision de faire expulser Ahmed est le fait de l’administration (la Préfecture de La Réunion) soutenant appliquer un texte législatif, concrétisant ainsi, la mise en jeu de la loi et du règlement d’application...
Toutefois, même si nous reconnaissons à l’administration sa prérogative d’exécuter la loi, nous sommes profondément indignés dans son droit d’employer la contrainte devant la précipitation et la brutalité de l’exécution de la décision de reconduite à la frontière de ce jeune étudiant résidant à La Réunion depuis près de douze ans pour ne pas le rappeler. Pourquoi une telle précipitation dans l’exécution d’une décision de justice ? Première question.
Dans un deuxième temps, cette décision de faire expulser ce jeune étudiant vers les Comores où il n’a ni famille, ni ami, soulève indéniablement une autre interrogation à savoir : Quel est véritablement l’objectif recherché par l’administration dans cette affaire et pour quelle finalité ?...
Deuxième question.
Aussi, nous avons à nous demander dans quel but le tribunal a ordonné cette expulsion ?...
Les réponses de l’administration et de l’appareil judiciaire seraient d’une certaine utilité et notre volonté ici, n’est pas de remettre en cause l’utilisation du pouvoir de réglementation. Par contre, nous interroger sur le rôle joué par l’administration à l’énoncé et à l’exécution de certaines règles est-il interdit ? L’administration doit-elle simplement et uniquement exercer un privilège qui lui est propre sans aucune considération de la personne humaine ? Cette question nous semble aussi valable pour l’appareil judiciaire dans le cas qui nous préoccupe ; qu’en pensez-vous ?
Ici, bien entendu, lorsque nous employons le terme administration, nous voulons bien évidemment mettre à part les personnes physiques qui concourent aux tâches administratives, mais insister sur l’autorité publique comme par exemple, le préfet de La Réunion et/ou les hauts fonctionnaires qui sont à son service.
Nous avons tous à nous interroger là-dessus pour ne pas ouvrir de portes à l’intolérance, à la xénophobie, au racisme, ni à aucune forme de discrimination. Qu’en pensez-vous ?
Oui, le cas d’Ahmed Andhumoudine, expulsé vers Les Comores où il n’a ni famille, ni ami, pose un problème d’interprétation à la fois de la loi, mais aussi, sur l’exécution de la dite loi.
Pour le retour d’Ahmed Andhumoudine
Samuel Mouen
Une société qui se désintéresse de ce pourquoi elle est faite
Quand il vous arrive de dire que la France est un pays capitaliste, il y a encore des gens aujourd’hui qui vous regardent avec des yeux ronds, et qui vous traitent de communiste. Si vous osez affirmer que la société française est "de plus en plus libérale" (au sens que tout le monde donne à ce mot aujourd’hui et qui n’est plus celui qu’il avait au 19ème siècle) et que cette société est "de plus en plus américanisée", on ne vous prend plus au sérieux. Et si vous avez l’audace d’ajouter que la pauvreté augmente de jour en jour en France, alors on vous dit carrément que vous exagérez.
Et pourtant, c’est bien ce qui ressort clairement du rapport annuel publié par le Secours catholique, et qui devait être remis au Premier ministre le 16 novembre dernier. "Il est essentiel d’arrêter la spirale des emplois précaires, qui produisent la pauvreté", prévient Gilbert Lagouanelle, directeur du "pôle action institutionnelle" de l’association. Car, comme on peut le voir chaque jour, toutes ces formes d’emploi précaire ne font qu’enfoncer de plus en plus les travailleurs dans la misère. Les "sous-contrats (c’est écrit en toutes lettres) entraînent une succession de ruptures dans les ressources et donc une vie en pointillé". L’expression pour être imagée dit bien ce qu’elle veut dire. Et plus loin, le rapport enfonce le clou : "Aucun de ces emplois précaires n’assure en moyenne un niveau de vie qui permettrait de se situer au-dessus du seuil de pauvreté", lequel a été fixé par l’INSEE à 602 euros par mois depuis 2001. Or 83% des personnes accueillies par le Secours catholique se trouvent en dessous de ce seuil.
Voilà qui devrait nous ouvrir les yeux sur la situation réelle des pays comme la France, que l’on qualifie volontiers d’États de droit, et où par conséquent l’ensemble de la population est regardé internationalement comme vivant de façon aisée par rapport au reste du monde. Il devient donc urgent de s’attaquer aux motifs structurels de l’action humaine qui provoquent ici ou là, et même dans les pays dits développés, une injustice structurelle aussi criante. Mais les mots utilisés par ceux-là mêmes qui profitent pleinement du système en place ne peuvent plus longtemps cacher la vérité et finissent par les trahir. À ce propos, il me revient une phrase inouïe du pape Pie IX, l’un des papes les plus ultra conservateurs de Église romaine - qui a été scandaleusement béatifié il y a peu de temps, avec l’extraordinaire Jean XXIII : "Une société qui se désintéresse de ce pourquoi elle est faite ne peut avoir pour objectif que l’accumulation des richesses."
Georges Benne
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