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24 août 2005
À propos de "violent femmes"
Comment lisez-vous "violent femmes" quand vous êtes Français ? Je ne pense pas que vous prononciez “violent” (vaïolente) comme si vous étiez anglais.
Connaissez-vous ce groupe de rock porteur de ce nom, basé à Milwaukee en 1982 ?
Bien sûr, si vous êtes fan de ces musiciens, si vous prononcez en anglais les mots français, vous n’êtes pas du tout indigné par des chemises sur lesquelles "violent femmes" s’étalent en grosses lettres blanches.
Pour des militantes femmes, pour des citoyens qui réclament le droit au respect et luttent contre les violences, il est extrêmement choquant de trouver un tel slogan sur des vêtements vendus en grandes surfaces dans un département français.
Huguette Bello s’est fait le porte-parole de tous ceux, révoltés par cette provocation minable et commerciale. Elle a agi en femme élue, consciente de ses responsabilités dans la société.
Les 3 journaux ont relaté son intervention de vendredi 19 dans un magasin Score et je trouve dommage que ce soit l’article de “Témoignages”
qui, par un dernier paragraphe du genre insidieux "pourquoi tant de bruit pour rien ?" laisse entendre qu’il n’y avait pas matière à intervenir et étale sa connaissance (récente ou pas...) du "célèbre" groupe...
Marylène Berne
Des raisons de s’inquiéter
Huguette Bello, présidente de l’Union des femmes réunionnaises et députée communiste, a fait retirer vendredi dernier des chemises portant des inscriptions qui sont de réels appels au viol. Elle était parfaitement dans son rôle et on ne peut que se féliciter de cette action. Même s’il s’avère qu’il s’agit d’une chemise marquée du nom d’un groupe de rock américain. Il n’empêche que l’inscription avait toutes les chances d’être reçue comme une véritable incitation au viol. Et quand on sait que les affaires aux Assises concernent majoritairement des crimes sexuels, les hommes comme les femmes ont quelques raisons de s’inquiéter de voir ce genre d’inscription s’inscrire un peu partout.
Yves Van Der Eecken
(Saint-Pierre)
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