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Le courrier des lecteurs du 26 avril 2004

26 avril 2004


Mariage et divorce à la lumière des Écritures

Toutes les religions ont leurs intégristes. Ceux de la religion catholique ne sont pas les moins virulents. Plusieurs lettres de lecteurs, récemment parues dans la presse, ont fustigé l’attitude de certains curés qui, semble-t-il, refusent la communion à certains de leurs fidèles, sous prétexte que ceux-ci sont divorcés ou bien vivent "en ménage" sans être mariés.
Pour justifier leur intransigeance, ces curés se fondent généralement sur un passage de deux évangiles - Mathieu (19, 3-12) et Marc (10, 18-16) -, où Jésus est censé prononcer les paroles suivantes : "N’avez-vous pas lu que le Créateur, dès le commencement (lors de la création d’Adam et Ève), "mâle et femelle il les fit" et qu’il dit : "À cause de cela, l’homme abandonnera père et mère, et il s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair". "Donc, conclut Jésus, ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas."
Ce texte est considéré par les intégristes comme un enseignement capital de Jésus, par lequel d’une part il condamne les rapports sexuels hors mariage, et d’autre part interdit le divorce. Mais ce texte est-il authentique ? En d’autres termes, Jésus a-t-il réellement tenu ces propos ? Il y a tout lieu d’en douter, et ce, pour d’excellentes raisons.
En premier lieu, chacun peut constater que le texte ci-dessus ne se rencontre chez aucun des deux autres évangélistes, Luc, l’historien, et Jean, le théologien. Mais il y a plus grave.

Les deux récits de la Genèse

Prétendre que Jésus a véritablement prononcé les paroles ci-dessus, c’est faire de lui un falsificateur. En effet, les citations - entre guillemets - que fait Jésus ne se trouvent nulle part, en tous cas sous cette forme, dans les Écritures.
Quand on lit la Genèse, on constate qu’elle contient deux récits différents et en bien des points contradictoires de la Création. Concernant la création de l’être humain, il est dit dans le premier récit, au verset 27 : "Dieu créa l’être humain à son image, à l’image de Dieu il le créa ; mâle et femelle il les créa ." Ici Dieu crée l’homme et la femme simultanément, les bénit et leur ordonne de se multiplier.
Dans le deuxième récit au contraire, au chapitre 2, Dieu crée d’abord Adam, puis le jardin d’Eden, ensuite "toutes les bêtes des champs et tous les oiseaux du ciel". Et ce n’est qu’en tout dernier lieu qu’il endort Adam, lui prélève une côte et, à partir de cette côte, fabrique une femme.
Dans ce deuxième récit, Adam dit en voyant Ève : "Celle-ci, cette fois, est l’os de mes os et la chair de ma chair ; celle-ci sera appelée femme, car c’est d’un homme qu’elle a été prise !"
C’est à ce point de ce deuxième récit qu’on voit apparaître la phrase : "À cause de cela, l’homme quitte son père et sa mère, s’attache à sa femme, et ils deviennent une seule chair."

La falsification de Marc et de Matthieu

La falsification du texte biblique - que je préfère attribuer à Marc et à Matthieu plutôt qu’à Jésus - apparaît clairement. Elle est multiple.
1°) Les deux évangélistes juxtaposent deux phrases - la première : "Mâle et femelle il les fit" ; la deuxième : "À cause de cela, etc..." - qui, dans la Genèse, appartiennent à deux récits, à deux contextes différents.
2°) Ils les relient l’une à l’autre par la locution "à cause de cela", faisant apparaître la deuxième comme une conséquence de la première. C’est parce que Dieu a créé l’être humain "mâle et femelle" que, d’après eux, l’homme devrait quitter sa famille pour s’attacher à sa femme et former avec elle une seule chair.
3°) Ils mettent la deuxième phrase au futur - "l’homme abandonnera père et mère..." - alors qu’elle est au présent dans la Genèse : "l’homme quitte son père et sa mère...". Ils en changent ainsi le sens.
Par le présent, le rédacteur de la Genèse ne faisait que constater une coutume en vigueur dans toutes les sociétés matriarcales, dans lesquelles l’homme quittait sa famille, pour aller vivre dans celle de sa femme ; alors que dans les sociétés patriarcales qui ont suivi, c’est la femme qui - comme on dit encore dans le Code civil - "suit son mari".
En remplaçant le présent par le futur, les deux évangélistes transforment la constatation de la Genèse en une prescription, une obligation, un devoir : parce que l’homme et la femme sont de sexes différents, le premier doit s’attacher à la seconde et former avec elle "une seule chair"... !
4°) Pour donner plus de poids à la prescription, Marc et Matthieu mettent la deuxième phrase dans la bouche de Dieu lui-même ("il dit"), alors que la constatation de la Genèse relève de la seule réflexion du rédacteur. Dans les deux évangiles, la phrase "à cause de cela, etc..." est mise entre guillemets comme étant une citation de Dieu, alors qu’il n’y a pas de guillemets dans le texte de la Genèse.

Le mariage, acte privé

La conclusion prêtée à Jésus - " Donc , ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas" - arrive alors comme un cheveu sur la soupe. Rien, dans ce qui précède, ne conduit à une telle conclusion. Ni dans le premier, ni dans le second récit de la création, il n’apparaît que Dieu ait uni l’homme et la femme.
Dans le premier récit, il se borne à créer l’homme et la femme de sexes différents, comme il l’avait fait pour les animaux. Dans le second, il tire la femme d’une côte de l’homme ; un acte de séparation plutôt que d’union !
Il suffit d’ailleurs de relire l’Ancien Testament pour se rendre compte que le mariage est un acte privé, où ni Dieu, ni son représentant supposé, le prêtre, n’interviennent jamais. Quand le serviteur d’Abraham revient de Nahor accompagné de Rébecca, destinée à Isaac, que se passe-t-il ? "Isaac conduisit Rébecca dans sa tente. Il la prit, elle devint sa femme, et il l’aima." Un mariage dans la plus stricte intimité, comme on le voit.
Lorsque Jacob épousa Rachel, il y eut certes un festin, mais pas d’autre cérémonie. Au cours de sa nuit de noces, Jacob crut devenir avec Rachel "une seule chair". Mais au petit matin, il se réveille aux côtés de Léa, qu’il avait donc “épousée” sans s’en rendre compte. Qu’à cela ne tienne, une semaine plus tard il épousa Rachel pour de bon. Plus tard, ses deux femmes mirent dans son lit leurs servantes Bilha et Zilpa. Jacob devient donc “une seule chair” avec quatre femmes !
David fit mieux. En plus des multiples femmes qu’il avait épousées avant de devenir roi, il hérita du harem de son prédécesseur, Saül. Dieu n’y vit aucun inconvénient ; au contraire, rappelant à David tout ce que celui-ci lui devait, il lui fit dire, par la bouche du prophète Nathan : "C’est moi qui t’ai oint comme roi sur Israël... Je t’ai donné la maison de ton seigneur (avant sa mort, Saül était le seigneur de David) et j’ai mis les femmes de ton seigneur sur ton sein..." (Samuel 12, 7-8)
Quant à Salomon, il devint “une seule chair” avec pas moins de mille femmes : 700 épouses et 300 concubines. Dieu ne lui en fit jamais le reproche, il se mit seulement en colère lorsque les femmes de Salomon "firent dévier son cœur à la suite d’autres dieux".

Dieu permet le divorce

Il apparaît donc bien que l’union de l’homme et de la femme est une affaire privée, où Dieu n’intervient pas. C’est l’Église qui, abusivement, a fait du mariage un sacrement, le prétendant dès lors indissoluble.
La Loi de Moïse, elle (Deutéronome 24, 1), prévoyait au contraire le divorce : "Lorsqu’un homme aura pris une femme et l’aura épousée, s’il advient qu’elle ne trouve pas grâce à ses yeux, parce qu’il a trouvé en elle quelque chose de choquant, il écrira pour elle une lettre de répudiation, la lui remettre en main et la renverra de sa maison."
On peut seulement regretter que le même droit au divorce ne soit pas accordé par Moïse à la femme.
Même Matthieu qui, on l’a vu, prête à Jésus des propos hostiles au divorce, lui fait dire en 10, 9 : "Je vous le déclare : si un homme renvoie sa femme, alors qu’elle n’a pas été infidèle , et se marie avec une autre, il commet un adultère." Ce qui veut dire, a contrario, qu’en cas d’infidélité au moins, le divorce est autorisé. Bien sûr, pour les hommes seuls, encore une fois.
Alors, Messieurs les intégristes, relisez les Écritures !

Daniel Lallemand


Améliorer l’emploi à La Réunion est le principal défi de la Région

Le problème de l’emploi est indissociable, en amont, de la future insertion professionnelle des jeunes encore scolarisés mais en échec scolaire. Afin de les aider à vaincre leurs difficultés, l’Éducation nationale a mis en place une convention pour la création des “ateliers relais”.
“Le "Monde” du 27 octobre 2002 et “Libération” du 2 octobre 2002 accordent de longs articles sur cet aménagement destiné aux élèves "en rupture scolaire" au collège. Ces ateliers sont organisés hors collège en partenariat avec les associations à caractère éducatif et s’adressent à de petits groupes qui ne pourront y passer plus de quatre semaines par trimestre.
On peut cependant se demander si cette mesure pourra se développer. À ce jour les “ateliers relais” sont prévus en nombre beaucoup trop insuffisant par rapport aux besoins.
Cette convention entre pourtant dans la loi de programme pour l’Outre-mer. Alors, pourquoi ne pas encourager les entreprises d’une certaine taille à fonder - parallèlement à leurs activités et très distinctement - ce type d’associations à vocation éducative avec l’encadrement prévu dans la convention : "personnels de l’Éducation nationale et autres personnels d’éducation et d’animation mis à disposition des associations signataires"... ?
Il est dit en effet que les "ressources propres à d’autres partenaires que les actuels signataires dans les domaines éducatif, social, culturel et économique peuvent être sollicitées". Il est bien évident qu’un principe de précaution devra être appliqué.
Une idée simple et concrète sur laquelle j’interpelle nos élus.

C. Smutek


Tuer et maltraiter pour l’amour de Dieu :
une excuse de plus à la violence

Résultat de l’interprétation de textes religieux, des faits de violence sur les femmes deviennent acceptables, voire même recommandés, faisant fi de tout respect de l’être humain, des principes de dignité, d’égalité et des règles sociales de la démocratie.
Les associations réunies au sein de la F.R.S.C.V. s’interrogent fortement sur les conséquences à La Réunion de la banalisation de tels propos et sur la légitimation de l’acte du violent qui peut en découler.
Elles saluent la décision de réagir et d’agir prise par le gouvernement. L’expulsion marque une décision forte et une réelle volonté de la société tout entière de refuser toute incitation à la violence, d’où qu’elle provienne.
Cependant, le problème de fond reste posé ! Au-delà de propos et même d’actes graves, c’est toute une problématique beaucoup plus profonde qui est à prendre en considération :

- d’une part, un public tout acquis ou en voie d’acquisition à de tels messages ;

- d’autre part, une mobilisation citoyenne encore beaucoup trop timide pour dire non à la violence et à la haine.
Un public tout acquis : pourquoi ? Sous prétexte de leur fournir un accès plus rapide et plus facile à Dieu et à ses bienfaits, des personnes en souffrance, les exclus de toutes sortes (personnes en rupture, isolées, désœuvrés, malades et frustrées...) font l’objet de manipulations mentales qui n’ont d’autre but que de servir des causes et des intérêts qui vont à l’encontre de tout humanisme, et de répondre à une logique destructrice.
Seule une solidarité et une société plus humaine peuvent contrecarrer de tels desseins et apporter une réponse à des âmes en peine. Malgré l’implication de beaucoup de professionnels et de bénévoles, la tâche reste démesurée, et le temps presse. Pris chacun par nos propres préoccupations, le temps à consacrer à l’autre, aux autres, devient légende.
Les associations de la F.R.S.C.V. vous invitent à la mobilisation, aussi bien vous citoyens isolés, que groupes d’amis, entreprises, communautés religieuses, clubs divers.
Rejoignez les associations qui travaillent déjà avec trop peu de moyens ou œuvrez à votre niveau en participant à créer du lien social, même au travers de petites initiatives (visitez votre voisin seul, échangez avec les jeunes de votre quartier, proposez votre aide aux personnes en détresse que vous côtoyez...).
Investissez-vous, investissez dans une démarche collective de refus de la violence en vous impliquant dans la vie de notre société, quels que soient votre origine culturelle, votre couleur, votre religion, votre milieu social...
La violence faite aux femmes n’est pas un problème de femmes. La femme victime, c’est aussi une mère, une sœur, une fille...
Plus que jamais, nous formulons le vœu que les hommes et les garçons qui partagent nos convictions se manifestent et nous aident à enrayer une violence trop souvent d’origine masculine. Le bien-être social dépend conjointement des femmes et des hommes.
Prenez votre place d’humain et de citoyen. Refusez avec nous l’idée que la violence est une fatalité.

La présidente de la F.R.S.C.V. (Fédération régionale de solidarité contre les violences),
Céline Lucilly


Pourquoi faut-il augmenter les salaires ?

D’abord parce que les systèmes de redistribution de la richesse - dont les salaires - sont en panne et qu’il est urgent de rétablir les équilibres qui font la cohésion sociale.
Si la production des richesses progresse, les gains de productivité ne profitent qu’à une minorité qui s’enrichit démesurément, tandis qu’une partie grandissante de la population s’appauvrit peu à peu.
En effet, des études montrent que la part des salaires ne représentent plus aujourd’hui que 60% des richesses produites par notre pays (PIB), contre 69% en 1983. Ce sont donc 9% des richesses produites par tous qui sont passées des poches du monde du travail à celles des milieux patronaux et financiers. (1)
Il convient de souligner que ce chiffre n’est qu’une moyenne. La réalité est toute autre, car certaines entreprises éprouvent de grandes difficultés, alors que d’autres ramassent le “jack pot”.
Il est donc évident que les mesures à prendre pour rétablir une meilleure équité devront être finement adaptées et simplifiées. Mais de toute façon, il est urgent et juste que les salariés retrouvent la part dont ils ont été dépossédés. D’autant que cela représente des milliards d’euros qui auraient pu être mieux utilisés...
Deuxième raison d’augmenter les salaires : Entre 1997 et 2000, la conjoncture internationale a provoqué une baisse des prix. Du coup, le pouvoir d’achat des salaires a progressé de 1,6% en 1997 et 1,8% en 1998. (2) La consommation des ménages a repris, ce qui a généré d’autres emplois...
De plus, dans cette période, 1 million 600.000 emplois marchands ont été créés. (2)
Mais encore, ces 1 million 600.000 salaires ont généré autant de cotisations sociales qui sont allés équilibrer les comptes de l’assurance maladie et conforter le financement des retraites et de l’UNEDIC.
De surcroît, cette croissance est venue réduire mécaniquement les déficits publics. Qui n’a pas en mémoire l’effet “cagnotte”, qui surprit Fabius et tous les économistes du palais ? Souvenez-vous du spectacle affligeant de ministres et de hauts fonctionnaires dissimulant la progression des recettes !
Devant cette embellie, le groupe de recherche de la fondation Copernic écrivait : "Pendant près de deux années, l’économie française a donc bénéficié d’une relance salariale involontaire qui permet de mesurer la pertinence d’une telle politique. Elle n’a en effet déclenché aucune des conséquences néfastes prévues par le dogme libéral. L’inflation est restée contenue, l’équilibre du commerce extérieur est resté stable, la situation des entreprises ne s’est pas dégradée du point de vue des profits, le taux d’auto-financement des entreprises est resté très élevé : 114% en 1998 contre 116% en 1997".
En fait, pendant ces deux années, l’économie française a adopté la règle selon laquelle le salaire doit croître à la même vitesse que la productivité du travail.
Bref, cette politique de relance salariale est loin de représenter à elle seule une sortie du chômage de masse, mais elle reste un moteur de la croissance, c’est un régulateur qui fonctionne plutôt bien.
Face à ces constats, des questions doivent être clairement posées à ceux qui nous gouvernent : Quels dogmes vous guident pour oser bloquer les salaires de millions de salariés de l’État qui perdront 3% de leur pouvoir d’achat cette année, sans compter l’incidence de cette mesure sur les salaires du secteur privé ?
Quelle pensée magique vous anime pour oser - dans une période de récession - éteindre un des moteurs de la croissance (la consommation des ménages) ?
Quelle idéologie vous empêche de provoquer une relance salariale alors que tout en montre l’efficacité et l’urgence et que notre pays compte plus d’un million cinq cents mille personnes qui, même en travaillant durement, vivent en dessous du seuil de pauvreté. Avez-vous réfléchi aux conséquences ?

Didier Le Strat

(1) Thomas Piketty, “L’économie des inégalités”, La Découverte, 1997 (graphique montrant l’évolution et la répartition de la plus value, du capital et du travail).
(2) Les tableaux de l’INSEE relatifs à la conjoncture en France de 1996-98.


Avec “Université pour tous”, Semaine de l’Indonésie :
“Masques et Gamelan”

Boris Cyrulnik s’en est allé, mais de nouveaux enchanteurs du monde nous arrivent bientôt...
La fantaisie et la créativité, Boris Cyrulnik nous l’a rappelé, sont des outils privilégiés dans tout processus de résilience. Et l’art et les artistes, "ces enchanteurs du monde", y contribuent beaucoup.
Voilà une transition toute trouvée pour annoncer la suite du programme des manifestations organisées par l’association “Université pour tous”, et l’arrivée prochaine sur le campus d’enchanteurs venus de Bali, Java et Sumatra...
Inscrivez bien sur vos agendas les dates du programme de la Semaine de l’Indonésie intitulée “Masques et Gamelan”.
Au programme de cette semaine :
o “Musiques de Bali à Java”
Conférence de Kati Basset, ethnomusicologue, suivie d’un concert de Gamelan, avec 10 musiciens et un danseur soliste le mardi 27 avril 2004 à 18 heures et 20 heures 30, salle Vladimir Canter.
o “Théâtre et rituels dans le monde indo javanais balinais”
Conférence de Kati Basset, suivie de “Le voyage de Pénazar”, une création inspirée du théâtre indonésien par la Compagnie l’Entreprise, le jeudi 29 avril à 18 heures et 20 heures 30, salle Vladimir Canter. Texte et mise en scène de François Cervantes, avec Catherine Germain.
"Masques, costumes lumineux, danse, mime, performance d’artiste, raffinement d’un texte érudit mais nullement pédant. Dès les premières minutes, Catherine Germain entraîne son public dans un univers onirique et chatoyant ...".
o “Le retour de Pénazar à Bali”
Une création de François Cervantes, le vendredi 30 avril à 20 heures 30, salle Vladimir Canter.
"Pénazar retrouve son pays sept siècles plus tard, et les Indonésiens découvrent des fragments de leurs traditions dispersés en occident. Le retour de Pénazar à Bali est le témoignage de ce voyage".
L’accès aux conférences est gratuit.
Achat des billets pour le concert et les pièces de théâtre : auprès de la salle Vladimir Canter (0262 48 95 06). Tarif étudiant : 4 euros. Tout public : 11 euros.
Pour des renseignements complémentaires sur notre programmation,
nous vous invitons à consulter la rubrique “actualités” des pages web d’Université pour tous (http://www.univ-reunion.fr/services/index.html)

L’équipe d’Université pour tous


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Témoignages - 80e année

La pès kabo

5 juillet, par Christian Fontaine

Kan i ariv Novanm-Désanm-Zanvié, domoun i réziste pi ek la salèr. Zène-zan i mars dann somin, zène-fi i roul an dékolté ; sétaki i rod in manir po (…)


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