
Turbulence à la Mairie de Saint-André
5 juillet, parAprès les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
31 janvier 2005
(Page 9)
Collectif d’aide aux sinistrés de l’Inde
Rassemblement à la grotte de Notre Dame de Lourdes à Saint-Paul le 6 février
Comme vous le savez, le double séisme sous marin du dimanche 26 décembre 2004 qui a été à l’origine du raz de marée puissant et meurtrier touchant tous les pays du Sud Asiatique a fait plus de 300.000 morts, sans compter les disparus.
Dès le 27 décembre, le G.R.A.H.TER (Groupe de Recherches sur l’Archéologie et l’Histoire de la TErre Réunionnaise) était sur le terrain à Pondichéry et à Madras. L’horreur que nous avons vue est inqualifiable, devant ces corps disséqués et les dégâts matériels qui touchent principalement les pauvres.
À notre retour, nous avons mis en place un collectif des victimes de l’Inde car nous voulons aider la Congrégation des Frères de Saint-Jean qui fait un travail considérable sur place.
Nous faisons un appel à un grand rassemblement le dimanche 6 février 2005 à 15 heures à la cure de Saint-Paul - Grotte de Notre Dame de Lourdes - où une messe sera dite par le père Antonisamy Annaraj ainsi que de nombreux prêtres du diocèse.
La quête sera reversée entièrement à la Congrégation des Frères de Saint-Jean de Pondichéry (Banque CIC à Versailles), qui par leurs actions dépassent le cadre de la ville de Pondichéry.
Après l’ensevelissement des morts, il faut maintenant soigner les blessés, reconstruire les maisons et procurer des outils de travail à la population. Plus de 4.000 barques ont été détruites.
Votre participation à ce rassemblement aidera les victimes du tsunami à retrouver l’espoir et à réécrire leur histoire.
Nous comptons sur votre présence.
Pour le Collectif d’aide aux sinistrés de l’Inde,
Marc Kichenapanaïdou
Préoccupante insécurité des avions desservant les D.O.M.
Les avions qui desservent l’Outre-Mer subissent des incidents graves. Le Collectif des Antillais, Guyanais et Réunionnais s’étonne de l’inaction de la Direction Générale de l’Aviation Civile devant des faits d’une exceptionnelle gravité et qui tendent à se répéter.
Les appareils utilisés par les compagnies aériennes sur ces lignes ont plus de vingt ans (alors que l’âge moyen de la flotte d’Air France hors Outre-Mer est de 7 ans). Le Boeing 747-200 d’Air France F-GCBB aura bientôt 25 ans, le Boeing F-GSEX de Corsair presque 22 ans, le Boeing F-BTDG bientôt 24 ans, etc (pour plus de détails, voir le dossier du Collectif réalisé par Car Carbon, sur le site www.collectifdom.com, rubrique quoi de neuf)...
Depuis quelque temps, s’ajoutent à cela des incidents plus qu’inquiétants.
Voici quelques exemples :
- octobre-novembre 2004, les deux bimoteurs Boeing 777 d’ Air Austral desservant la Réunion sont immobilisés plus de 15 jours chacun pour des pannes de leur moteur droit respectif (à quand les gauches ?)
- 26 octobre 2004, un Boeing 747-200 affrété par la compagnie aérienne Air Austral suite à la panne de ses deux 777 parcourt 10.000 km - Saint Denis de La Réunion Paris/Charles-de-Gaulle - sur trois moteurs, avec à son bord plus de 330 passagers francophones paniqués, et un équipage anglophone qui a du mal à se faire comprendre et donc à rétablir le calme à bord.
- 21 novembre 2004, un Boeing 747-200 d’Air France doit faire demi-tour sur le trajet Paris Orly - Saint-Denis de La Réunion, suite à une panne dont les détails n’ont pas été communiqués.
- 28 novembre 2004, une panne moteur sur un des Boeing 747-300 de Corsair oblige les passagers à passer une nuit de plus au Mexique.
- Un appareil de Corsair reste immobilisé plusieurs jours sur le tarmac de l’aéroport de Pointe-à-Pitre autour du 13 décembre 2004, en raison d’une panne moteur. On apprend que l’appareil, un Boeing 747-300, était équipé de deux types de moteurs différents, et qu’il s’est vu refuser le convoyage sur trois moteurs dans ces conditions par Boeing !!!
- 14 décembre 2004, un vol de Corsair pour Fort-de-France est reporté au lendemain à cause d’un appareil/équipage loué auprès de European Air Charter, non certifié pour un atterrissage Cat III (mauvaises conditions de visibilité dues au brouillard).
- 16 décembre 2004 à Saint Denis de La Réunion, un Boeing 747-300 de Corsair ne peut démarrer l’un de ses moteurs. Les passagers sont invités à quitter l’appareil. Ils sont repartis le lendemain soir.
- Un Lockheed Tristar L1011 de Luzair loué par Corsair a été contraint de revenir à Pointe-à-Pitre quelques instants après le décollage, de vider ses réservoirs, d’atterrir et de faire évacuer les passagers directement sur la piste. La cause ? Une panne moteur ! Etc...
Cela continue encore et continuera tant que l’on proposera des appareils vétustes sur ces destinations.
D’ailleurs, il ressort d’un article paru dans “la Tribune” (2 décembre 2004) que la compagnie Corsair qui a fait l’acquisition de Boeing 747 400 d’occasion - plus de 10 ans - pour les destiner à l’Outre-Mer, n’a toujours pas pu obtenir la certification des autorités américaines du fait de la reconfiguration de certains des appareils visant à aboutir à une capacité de 587 sièges.
Le Collectif a adressé un courrier recommandé au directeur de l’Aviation Civile, M. Wachelheim et mis en copie le Premier Ministre, le Ministre de l’Equipement, des Transports, du Logement, du Tourisme et de la Mer, Gilles de Robien, le Secrétaire d’Etat aux Transports, M. Goulard, le Ministre de l’Outre-Mer, Brigitte Girardin, et le Ministre délégué au Tourisme, Léon Bertrand.
Le Collectif adressera avant le 28 janvier 2005 un dossier à l’ensemble de la représentation nationale, députés et sénateurs, afin de porter à leur connaissance ces éléments.
La DGAC a le devoir de s’assurer de la sécurité des passagers. Le Collectif demande au Directeur de l’Aviation Civile d’indiquer les mesures immédiates qui seront prises pour que ces incidents cessent.
Le remplacement programmé dans les prochaines années de la flotte actuelle d’Air France et Corsair volant vers l’Outre-Mer par des appareils plus ou moins âgés ne saurait constituer un palliatif à ces graves carences.
Eu égard au caractère vital de cette situation, il est impensable que la réponse apportée ne soit pas immédiate. Le projet consistant à étaler le remplacement de la flotte sur plusieurs années n’est pas de nature à satisfaire aux obligations légales de la DGAC en matière de sécurité.
Le Collectif demande au Directeur Général de l’Aviation Civile de garantir que la sécurité des passagers n’est pas compromise par l’âge et la surexploitation des avions.
Il nous revient en mémoire l’affaire du Concorde et l’appréciation de la Direction Générale de l’Aviation Civile qui minimisait les incidents, même après la catastrophe aérienne.
Le représentant de l’Aviation Civile en Martinique, Jean-Marc Sansovini, considère qu’il n’y a aucun problème de sécurité malgré la multiplication des incidents graves (déclaration faite le 11 janvier 2005 sur RFO TV).
Le Collectif des Antillais, Guyanais et Réunionnais fait part de ses plus vives inquiétudes. Il souhaite que chacun puisse prendre ses responsabilités et que nul ne puisse invoquer son ignorance quant à la gravité de la situation.
Pour le Collectif,
Patrick Karam
Un autre monde est possible
(ou : Les jeux dangereux de la vie)
Déçu par ses premiers pas dans la vie, l’être humain entame très tôt un jeu dangereux. Une déception sentimentale, par exemple, est compensée par l’appât du gain. Inconsciemment ou pas, la victime se dit qu’avec tout cet argent, elle pourra sans doute "s’offrir" les plus belles femmes. Une frustration d’ordre professionnel aura pour conséquence un comportement de prédateur, etc.
Avec l’âge et l’expérience, on s’aperçoit (un peu tard) qu’il s’agit d’un mauvais choix. La frustration est bien sûr un ressort qui nous fait agir, mais c’est un ressort qui nous propulse de façon inconsidérée dans un monde de violence et d’excès.
"Un autre monde est possible", dit-on à Porto Alegre (Forum Social Mondial). Mon Dieu comme je voudrais que ce message soit entendu. Mais pour cela, il faudrait passer du quantitatif au qualitatif, de la folie à la sagesse, du "toujours plus" au "toujours mieux".
Il faudrait surtout que nos enfants soient épanouis et heureux. Il faudrait enfin qu’on leur apprenne autre chose que les lois de la jungle.
On ne construit pas le bonheur à coup de millions, mais en prenant le temps d’observer et de connaître. Pour que le monde soit meilleur, il faudrait apprendre à nos enfants à aimer la vie, tout simplement.
François Maugis,
déjà grand père
(Page 8)
À François Mas
Comme vous défendez si bien la mémoire d’un Michel Debré !... Même ses fils ne le feraient pas avec autant d’ardeur. Le debréisme a été un mal pour La Réunion, pour mon pays.
Lorsque cet ancien Premier ministre a pris possession de l’île en 1963, j’avais 20 ans. J’étais étudiant. L’ordonnance de ce monsieur était en place. L’ordonnance scélérate de 1960.
Combien d’étudiants ont vu leur sursis coupé et ont été envoyés faire leur service militaire en Algérie ou en Allemagne ? Je sais, Monsieur François Mas, que vous ne faîtes par partie de ces étudiants-là.
Combien de fonctionnaires Réunionnais et Métropolitains ont été sanctionnés et expulsés de La Réunion ? Deux d’entre eux sont morts de stress. Faîtes parler Monsieur Roland Robert, maire de La Possession. Il en connaît un morceau.
Qui a prôné le planning familial à La Réunion et en faisant des affiches où on voyait des enfants dans une boîte de sardines ? Suivez mon regard !
Qui a encouragé la fraude électorale et désigné les maires dans l’île, sachant très bien qu’ils étaient élus d’office ?
Ma mère, morte en 1966, a voté une vingtaine de fois après son décès... Des milliers de morts votaient sans problème dans cette île.
Qui a muselé la parole aux Réunionnais avec la complicité de J. V.-D. dans les médias ?
Qui en tant que ministre des finances a augmenté le prix de la journée pour la clinique de Saint-Benoît pour que les dirigeants puissent être payés par la Sécurité sociale et qui dénoncé fera la une de l’actualité judiciaire des années 1970.
Qui a fait construire nos lycées professionnels sans aucune ouverture, où l’air ne pouvait pénétrer, avec une architecture européenne, de telle sorte que quelques années plus tard, on a été obligé d’élever les toits ?
Qui a obligé les enseignants du primaire, en particulier, dans les écoles maternelles à n’utiliser que le français, ignorant par là même leur langue maternelle, le créole ? Cette pédagogie ne participait-elle pas à “fabriquer” des analphabètes en puissance ?
Qui a organisé, avec une institution religieuse, le départ des milliers de Réunionnais en France, privant ainsi l’île de ses forces vives ?
Qui n’a pas accepté que les journaux critiquent sa politique ?
Qui obligeait les ministres de passage dans l’île à faire son éloge ? Oui, j’ai admiré un Raymond Barre le Réunionnais, qui en arrivant dans son île a refusé de prononcer le nom de Michel Debré. Oui, j’ai approuvé ce même Raymond Barre qui a fait “abolir” l’ordonnance scélérate du 10 octobre 1960.
Alors, Monsieur François Mas, “laissons les morts enterrer les morts”. Ne réveillons pas les morts. Paix à l’âme de Monsieur Michel Debré. Je suis heureux que mes enfants, mes petits enfants n’aient pas connu “l’ère Debré”.
La liberté a un prix, cela ne se discute pas.
Marc
Apostasie, mode d’emploi
Si vous aussi le discours crétinisant des religions vous exaspère, si vous aussi avez été embrigadé contre votre gré par l’Église catholique (baptisé à l’âge de 4 mois, puis lavage de cerveau de 6 à 11 ans, en ce qui me concerne), si vous aussi avez le sentiment d’être associé (par votre baptême) aux crimes commis au nom de Dieu au cours des siècles passés, et enfin, si vous aussi ne souhaitez plus figurer dans les statistiques diffusées par l’Église catholique et utilisées sans vergogne pour revendiquer sa participation à la vie publique, j’ai une solution à vous proposer : demandez votre débaptisation !
L’Église catholique n’a pas prévu que le baptême soit réversible : l’endoctrinement des enfants et la difficulté de sortir de "l’organisation" constituent d’ailleurs des éléments caractéristiques des sectes, telles qu’elles sont définies par la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (www.miviludes.gouv.fr).
Cependant, si un baptême ne peut pas être nié, il peut être renié : la loi des humains ayant la primauté sur la loi de Dieu, l’Église catholique doit se plier à la législation en vigueur, relativement aux fichiers nominatifs, informatiques ou manuscrits.
Vous trouverez ci-dessous un modèle de lettre, à envoyer au curé actuel de la paroisse de votre baptême, ainsi qu’à l’évêché dont dépend cette paroisse. Ce modèle de lettre est modifiable en fonction des griefs que vous avez à l’encontre de l’Église catholique, mais il est important de mentionner les références réglementaires et d’exiger la copie du registre modifié, seule preuve que votre demande a bien été exhaussée, en joignant une enveloppe affranchie à votre adresse.
"Monsieur,
J’ai été baptisé en l’église XXXX à LIEU le JJ MM AAAA sous le nom de NOM PRENOM. Cet acte, dû au conformisme culturel et social de ma famille, ne pouvait en aucun cas engager ma volonté, vu mon âge.
Afin d’éviter toute ambiguïté, compte tenu de mon inscription dans les registres de l’église catholique et le fait que je n’adhère pas à ses idées, je vous remercie de bien vouloir satisfaire les demandes suivantes :
- Compte tenu de l’Art. 9 de la convention Européenne des droits de l’homme du 04/11/1950, ratifiée par la loi n°73-1227 du 31/12/1973 et publiée par décret n° 74-3690 du 03/05/1974, veuillez prendre acte de ma requête d’apostasie.
- Compte tenu de l’Art. 40 de la loi 78-17 "Informatique, fichiers & libertés", s’appliquant y compris aux fichiers manuscrits, stipulant que toute personne peut demander rectification, modification ou mise à jour des données à caractère personnel la concernant, veuillez faire porter sur le registre de baptême, en regard de mon nom la mention suivante : "a renié son baptême par lettre datée du JJ MM 200X".
- Toujours au titre de l’Art.40 de la loi 78-17, veuillez me fournir sans frais une copie du registre ainsi modifié, afin de me justifier que la rectification demandée ci-dessus a bien été effectuée. Vous trouverez une enveloppe réponse affranchie dans ce but.
Veuillez etc...".
Mon prochain objectif est l’excommunication. Quelqu’un aurait-il le mode d’emploi ? Suffirait-il que j’envoie mes courriers des lecteurs au Vatican ? Monsieur Gilbert Aubry pourrait-il appuyer ma candidature ?
Joël Grouffaud
Perdus au milieu de l’espoir
Il y a quelques jours, j’étais à une réunion au Ministère de la Recherche, pour contribuer à une réflexion sur la recherche européenne à l’horizon 2020.
Habituellement, je réserve mes comptes-rendus et mes commentaires pour les collègues des organismes de recherche et de l’Université. Pour une fois, je pense qu’il est utile de partager ces quelques notes directement avec un plus grand nombre de nos concitoyens qui réfléchissent au présent. Quand on regarde le futur, il est évident que c’est une figure de style pour parler d’aujourd’hui, et je ne sais pas pourquoi, j’ai un vague sentiment que le temps se raccourcit.
Rapidement, on pourrait parler d’un grand écart entre ce qui est imaginé comme "souhaitable" et ce qui est perçu comme "probable". On pourrait dire l’importance du lien entre la recherche et les affaires de défense et de sécurité, et sur le possible besoin d’une redéfinition explicite de ce qu’il faudra entendre par "défense" et par "sécurité".
Sur un plan technique, on pourrait parler du développement des nouvelles méthodes de coordination et de l’utilité des "démonstrateurs" pour passer les concepts nouveaux vers l’industrie.
On pourrait aussi ne rien dire de l’importance du rôle tampon des associations faites sur mesure pour "contourner" les inévitables rigueurs administratives.
Le rôle primordial des régions dans la vie citoyenne grandit à vue d’œil, partout. Et deux hauts fonctionnaires, qui ne diraient peut-être pas la même chose au journal de vingt heures - tout en signalant que la moitié de la recherche se fait sur des sujets sociaux, comment s’organise tel ou tel segment de la population, ou le malaise de banlieues -, pointaient sur la nécessité et peut-être l’urgence qu’il y aurait à faire une recherche sociale sur la manière dont l’ensemble de la population, qui y trouve encore des repères d’identité majeurs, va vivre l’abandon progressif mais inéluctable de la notion d’État-nation...
L’objet premier de la recherche, c’est évidemment les finalités pour la société, et là, comme le remarquait un collègue, nous sommes perdus au milieu de l’espoir...
Guy Pignolet,
chercheur
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