
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
26 mars 2003
(…) Les enjeux de la crise actuelle sont économiques et géostratégiques. Mais ils sont aussi monétaires, et force est de remarquer que fort peu d’observateurs ont semblé s’en rendre compte. On sait que s’il n’existe plus de système monétaire international depuis qu’en 1971, le président des États-Unis Richard Nixon a décidé que les États-Unis ne rembourseraient plus en or les dollars qu’ils avaient émis, comme ils s’y étaient engagés en 1944 avec les accords de Bretton-Woods (une banqueroute en quelque sorte)…
Mais ce coup de force de Nixon, véritable déni de justice, n’empêchait pas le dollar de rester la seule monnaie utilisée dans le commerce international. Ce qui fait que les États-Unis en déficit commercial permanent et de plus en plus prononcé depuis précisément cette année 1971, financent ce déficit, et notamment leurs achats en pétrole, avec des dollars qui ne leur coûtent que le papier nécessaire à l’impression des billets verts (pour garder l’image, bien entendu obsolète de la "planche à billets").
Or depuis novembre 2000, chaque fois que l’Irak a pu, malgré l’embargo organisé par l’ONU, s’entrouvrir temporairement au commerce mondial et échanger "du pétrole contre des vivres", les contrats ont été passés en euros. Si les autres pays producteurs de pétrole adoptaient la même politique, c’en serait fini de la suprématie du dollar : le déficit commercial américain ne pourrait plus être alimenté par l’émission de billets verts, la première puissance économique se trouverait comme le roi de la fable : nue.
Or l’hypothèse d’une conversion à l’euro, des pays producteurs de pétrole - et des pays acheteurs de pétrole comme le Japon qui n’est pas un nain économique - est loin d’être absurde, car la zone euro n’a pas un déficit commercial comparable à celui des Etats-Unis, et n’a pas non plus une dette extérieure phénoménale comme c’est le cas du pays de George Bush (le pays le plus endetté du monde, ne l’oublions pas).
Sans être passé à l’acte, depuis maintenant plus de dix ans, l’Iran a publiquement et à plusieurs reprises annoncé qu’il pourrait lui aussi passer ses contrats pétroliers en euros… L’Iran est inclus lui aussi par les États-Unis dans l’"axe du mal", ce qui n’est certainement pas le fruit du hasard.
On comprend dans ces conditions pourquoi, en Europe, les dirigeants des deux pays qui se sont le plus investis dans la réforme de l’euro, l’Allemagne et la France, se sont aussi le plus ouvertement opposés à la guerre de Bush.
Mais les peuples dans tout cela ? Ils comptent bien peu, dans les préoccupations des grands de ce monde, qu’ils soient à Washington, Londres, Bagdad… ou Paris. C’est toujours le « froid intérêt de l’argent » que dénonçait en son temps Karl Marx qui prime. Quand un discours humanitaire… ou pacifiste peut masquer cela, tant mieux. Sinon, les médias aux ordres ne sont-ils pas là pour formater l’opinion publique ?
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