
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
1er septembre 2003
Dernièrement, on disait que la commune de Saint André allait mal. On disait que la Ville de Saint-André allait mal car elle n’arrête pas de s’endetter. Voilà une commune qui doit payer près de 10,5 millions d’euros d’annuité et qui est endettée pour près de 55 millions d’euros.
Chaque année nous sommes contraints de constater que les frais financiers et la dette de la collectivité augmentent. Souvent nous avons eu l’occasion de dénoncer la gestion calamiteuse de l’équipe municipale en place, incapable de réduire son train de vie, incapable de sortir de cette situation exsangue dans laquelle elle se trouve.
Non, Monsieur le Maire, nous n’exagérons pas quand nous affirmons ceci. Et ne venez pas seulement nous dire que vous n’êtes pas « un gestionnaire parfait » (ça, on le savait déjà). Ne venez pas non plus nous dire que c’est parce que vous faites une politique de proximité irréprochable. Il suffit de regarder la situation dans la commune pour constater votre soi-disante proximité :
- tous les chemins en mauvais état de la ville,
- tous les trottoirs absents,
- les tranchées d’évacuation d’eau pluviales inexistantes ou mal entretenues,
- la mauvaise qualité de la restauration scolaire (d’ailleurs, à Saint-André, on paie la cantine même pendant les vacances !),
- une piscine qui n’est toujours pas livrée faute de moyens financiers municipaux,
- les éclairages publiques inexistants dans les quartiers de la ville,
- les inondations en temps de pluies,
- les absences d’abris bus,
- le manque de toilettes publiques,
- les subventions aux associations versées tardivement,
- les journaliers communaux non intégrés … etc.
Il suffit de s’informer pour comprendre ce qui est fait réellement pour Saint André. Dernièrement (Conseil municipal du 19 août 2003), l’équipe de la majorité municipale s’est enfoncée un peu plus dans le ridicule en matière de gestion. En effet, en janvier, on nous dit que tout va bien. En août, on emprunte pour payer les fournisseurs de la Ville !
Et oui ! Voilà qu’on décide d’endetter un peu plus la Ville (et de faire payer un peu plus les contribuables) en faisant un prêt, certes à court terme, mais quand même de 3 millions d’euros pour payer les dettes !
Les fournisseurs doivent évidemment être payés (nous avons déjà eu l’occasion d’intervenir en ce sens). Mais pourquoi sommes nous aujourd’hui dans une telle situation ?
Pourquoi n’a-t-on pas prévu en janvier de payer les fournisseurs de la Ville ?… Pourquoi la commune de Saint-André a-t-elle toujours eu la réputation d’être un "mauvais payeur" ?
En général, on emprunte pour investir ! À Saint-André, on est contraint d’emprunter pour fonctionner ! Ça c’est de la gestion ! Bravo !
Continuez et les contribuables paieront toujours votre incompétence, votre incapacité à sortir notre Ville de la gangrène dans laquelle vous l’avez mise !
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, menées sous l’égide du président, sont entrées dans le vif du sujet, le 3 (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)