
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
14 mars 2017
Pour bien construire un enfant, il faut à la fois l’aimer et le rejeter. C’est la quadrature du cercle. On vient de parler des femmes, on larmoie sur leur faiblesse, on glose sur l’inégalité, comme toujours, on survole de manière un peu superficielle, le sujet.
Lorsque je compare la littérature d’aujourd’hui avec celle des siècles précédents, la façon artificielle, superficielle et sommaire que nous avons aujourd’hui d’appréhender le monde, me saute aux yeux. A l’image du monde virtuel que se construisent les enfants d’aujourd’hui, il me semble que nous n’avons plus les pieds sur terre. Voguons-nous dans le rêve, avons-nous perdu le bon sens de nos ancêtres et surtout, faisons-nous honneur à cette supériorité dont nous sommes si fiers, l’intelligence ? Si l’on veut parler des femmes, parlons-en mais parlons-en sérieusement et jetons aux orties tout féminisme ou machisme partisan.
Le rôle de la mère, tout comme celui de la terre, est essentiel en ce bas monde. L’avoir oublié, c’est perdre pied, c’est participer à notre amoindrissement progressif, à la perte de valeur de notre société, de notre humanité. C’est grave et probablement plus grave encore que ce que l’on peut imaginer. Certains parlent de fin du monde, je préfère parler, comme Bernard Astruc, actuellement sur notre ile, de la fin d’un monde. Encore faut-il avoir à l’esprit ce renouveau, cette reconstruction et tout faire pour favoriser cette transition. Oui, il faut aimer son enfant pour le construire mais il faut aussi, très vite le rejeter pour qu’il construise lui-même son autonomie.
De la même manière, notre mère la terre est parfaitement capable de nous nourrir. Encore faut-il lui laisser vivre sa vie de terre nourricière. Et c’est vrai que si nous tuons la terre, si nous tuons notre mère à tous, elle n’a plus beaucoup d’espoir de voir grandir ses enfants.
François Maugis
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