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Comité international de la Croix-Rouge
25 avril 2015
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) appelle les gouvernements à prendre sans tarder des mesures pour éliminer toutes les armes nucléaires. L’appel a été lancé alors que s’ouvre à la fin du mois à New York une conférence cruciale, organisée par les Nations Unies, qui se penchera sur les progrès accomplis dans les efforts visant à enrayer la prolifération des armes nucléaires et à les éliminer des arsenaux actuels.
« Soixante-dix ans après les ravages causés par les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki, les armes nucléaires continuent de représenter un risque intolérable pour l’humanité », a déclaré le président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), Peter Maurer, avant la Conférence des Parties chargée d’examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.
« Leur puissance destructrice est sans équivalent, leur impact potentiel est catastrophique, et pourtant ce sont les seules armes de destruction massive à n’avoir pas encore été interdites. »
Le président du CICR a appelé les quelque 190 États participants à faire en sorte que la Conférence marque un tournant dans les décisions prises dans ce domaine. Il a affirmé qu’il était urgent d’honorer les engagements de longue date visant à débarrasser le monde des armes nucléaires, et a invité les États à établir un échéancier précis en vue de leur élimination.
S’il a toujours été clair que toute utilisation des armes nucléaires aurait des conséquences catastrophiques, des études récentes ont permis de mettre plus nettement en évidence l’ampleur inouïe de leur impact potentiel. Il est donc impératif que les États établissent un calendrier pour parvenir à un accord juridiquement contraignant en vue d’interdire l’utilisation de ces armes et les éliminer une fois pour toutes.
Les techniques modernes de modélisation climatique suggèrent que même une guerre nucléaire régionale « d’envergure limitée » pourrait provoquer un refroidissement du climat à l’échelle mondiale, qui réduirait la production vivrière et placerait un milliard de personnes sous la menace d’une famine.
Dans la plupart des cas, il n’y aurait aucun moyen réaliste de fournir une assistance aux survivants.
Soixante-dix ans après Hiroshima et Nagasaki, les hôpitaux de la Croix-Rouge japonaise continuent de soigner des personnes atteintes de cancers et de leucémies imputables aux radiations des explosions atomiques.
Pourtant, les progrès réalisés dans l’élimination des armes nucléaires restent lents, et certains États financent des programmes de modernisation de leurs arsenaux nucléaires qui pourraient permettre de maintenir ces armes opérationnelles pendant encore plusieurs décennies. Le CICR craint que ces programmes puissent constituer un encouragement à une future prolifération de ces armes.
À la lumière de ces considérations, le CICR appelle les États qui possèdent des armes nucléaires – et leurs alliés – à prendre immédiatement des mesures pour réduire le rôle et l’importance des armes nucléaires dans leurs plans, doctrines et politiques militaires.
« Il est de plus en plus évident que ces conséquences catastrophiques sur le plan humanitaire soulèvent de sérieux doutes quant à la possibilité que ces armes puissent être un jour utilisées conformément au droit de la guerre », a ajouté M. Maurer.
« Cela nous amène, encore et toujours, à la conclusion que l’emploi des armes nucléaires doit être interdit et que ces armes doivent être complètement éradiquées. »
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