
Sept prix Nobel d’économie exhortent la France à adopter un impôt sur les ultrariches
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4 septembre 2006
Il faut savoir, en toute circonstance, reconnaître ses torts et faire amende honorable. On apaise sa conscience et en prime on en sort grandi.
La rapidité avec laquelle l’Etat a fait connaître sa décision concernant le futur tracé de la route littorale atteste, s’il en était encore besoin, que, contrairement à ce que d’aucuns avaient osé prétendre, les dés n’étaient pas pipés, D’ailleurs, il ne s’agissait même pas d’une décision, mais d’un simple “arbitrage” - acte on ne peut plus neutre - pour départager des gens au comportement d’enfants gâtés, qui "pleurent la bouche pleine" et réclament tout et son contraire sans savoir au juste ce qu’ils veulent.
L’encre de la délibération de l’assemblée régionale n’était pas encore sèche que la décision tombait ! (On ne peut là s’empêcher de penser à cette expression de chez nous, que les anciens connaissent et qui voulait tout dire : "allez à ou là, mi crache à terre...!").
Et puis, quel formidable exercice de démocratie ! Et quel débat ! Pensez donc, pendant des semaines, des mois, jour après jour, tous les techniciens, les ingénieurs, les têtes pensantes et même chercheuses que compte ce grand service de l’Equipement, épaulés par des missionnaires hors pair, ont été sur le pont pour expliquer, ré-expliquer et... "faire comprendre" au vulgum pecus, ce que malheureusement nous sommes, les divers projets : celui d’en haut là-bas, un long tunnel ; ceux du milieu par en haut et du milieu par en bas, deux longs tunnels également ; celui d’en bas en bas avec un bout de tunnel et un bout dans la mer. Expliquer, avec une force de conviction sans pareille, et des arguments d’une très grande pertinence, que, même si tous les projets se valaient, sauf bien sûr question de prix, et qu’aucun choix n’était fait, il valait plutôt éviter les longs tunnels - les solutions d’en haut, dans leur ensemble - parce que le Réunionnais avait peur... des tunnels ! On ne le savait pas, on l’a appris !
Et tout cela dans la plus grande transparence !
Non, il faut l’admettre, de tels débats, de telles consultations, on en redemande, tant ils sont le sel de la démocratie... Pardon, La Démocratie !
On ne peut dès lors que fustiger comme il se doit tous ceux qui n’y ont pas cru. Qui ont voulu présenter cette admirable consultation comme un “attrape couyon” ou encore comme un “piège à c...” ; ceux qui ont prétendu y voir une sorte de remake du sketch de Fernand Raynaud, "un café crème et deux croissants" ; ceux encore qui, par des petites phrases assassines, du genre "les conseilleurs ne sont pas les payeurs", ont pu laisser supposer que l’Etat avait fait son choix. A minima, cela va de soi. Ceux qui ont osé émettre des doutes et qui posaient des questions pernicieuses. Du genre : comment expliquer qu’un même argument - les incertitudes techniques et géologiques - puisse aboutir à écarter les projets tout tunnel et retenir celui à la mer ?
Tous ceux-là et leurs pareils, il faut le reconnaître, ont été et sont d’une mauvaise foi insigne : des indécrottables du dénigrement et de la médisance, un ramassis qui veut par tous les moyens et en toutes occasions dénigrer les gouvernements de la France, se comportant comme des ennemis de la Patrie et de sa grandeur ! Voilà ce qu’ils sont. Sans plus (Le Ministre de l’Intérieur trouverait, à coup sûr, le mot le plus approprié !).
Alors, mea culpa, mea maxima culpa, pardon mille fois méssié gouvernement ! Nous sommes nombreux ici à avoir douté, nous nous en repentons humblement. Soyez assuré qu’après cette ultime expérience, le doute a laissé la place à une certitude inébranlable.
Comment Ziskakan i dit ? "Oté Sarda..." ?
Ça minme, minme !.... C’est notre intime certitude.
Georges-Marie Lépinay
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