
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
7 octobre 2024, par
La constatation de la « désorganisation » passagère de l’organisme en état d’impesanteur vécue par Thomas Pesquet à son retour de la station spatiale lui aura montré irréfutablement et avec éclat la réalité d’un « vitalisme » comme ignoré ou occulté qui aura pourtant différencié et spécifié le vivant, chez l’humain, sur terre.
L’hypothèse et la description de ce vitalisme avaient été imaginées et décrites par un précurseur, botaniste et médecin de Montpellier Paul-Joseph Barthez (1734-1806), ensuite approfondies par Henri Bergson (1859-1941) dans « L’évolution créatrice », ouvrage qui lui valut en 1927 le Prix Nobel de littérature. Il soutenait un tel principe sous-jacent touchant l’ensemble du vivant intrinsèquement, et vivant sur le sol terrestre, dont l’émergence de la bipédie nous aura différenciés, nous humains. Cette bipédie peut être interprétée comme une réaction, mobilisant notre instinct de vie spécifiquement chez nous humains, d’opposition à la gravitation nous plaquant au sol.
En situation d’impesanteur, la pulsion instinctive vitaliste qui nous aura redressés sur terre fonctionnant « à vide », nos organismes se « dé-physiologisent » temporairement. L’astronaute pourrait en témoigner.
Cette constatation « clinique » réversible nous montre que progressivement, graduellement, nous nous sommes transformés organiquement et adaptés sur terre, confrontés aux forces gravitationnelles en nous différenciant depuis Homo-Erectus. Ceci nous aura permis d’accéder, toujours progressivement, au langage parlé et articulé d’Homo Loquens, dépassant les gestes et les cris pour nous faire comprendre, nous rendant véritablement « humains ».
Et en même temps… nous fûmes dotés de la possibilité de mentir, de juger, de construire des alibis langagiers et des mystifications, aussi bien que des mythes, des cosmogonies, des contes, des légendes, des fictions, des religions, des idéologies, etc.
Si l’on accepte le principe d’un « instinct du langage », selon Steven Pinker, (1999), on devrait admettre que son émergence aurait comme « concurrencé » celui, initial, de « l’instinct imageant », lui qui devait nous guider intuitivement, dont les modalités d’expression seraient des IMAGES INCONSCIENTES. Et qui cependant, si l’on accepte cette thèse, perdurent toujours sous la forme de « rêves », la biologie étant conservatrice. Ce que nous avons nommé « rêves » nous guide toujours, effectivement, à notre insu.
La suite, on la connaît. Des théories cherchèrent à donner un sens à ces images, exposant différentes explications interprétatives qui pour nous s’avèrent dynamisantes et spéculatives à la fois.
Notre cerveau d’humain capterait toujours et continuellement des informations extraites de notre vie quotidienne, à notre insu ; par le « passe-passe » d’un « traitement » dont la réalité objective nous échappe pour l’instant, s’avérant assurément « GENIAL », impliquant apparemment un nerf optique traversant notre cerveau. Une sorte « d’instinct imageant » transformerait ces informations captées de notre vie quotidienne en scénarios assurément significatifs anticipant nos prises de conscience et nos décisions. La nuit porte conseil ! Génial, le vivant !
Une proposition de la levée de l’énigme des rêves est ainsi suggérée. Modestement j’en donne trois exemples dans le courrier ci-dessous :
Ces rêves ont été présentés comme argumentaire de ma thèse soutenue en 2000. Le directeur de thèse, un freudien cependant non orthodoxe en la personne du Professeur Pierre Fédida, (1934-2002), aura qualifié de « canular » la neuro-psychanalyse, toutes approches divergentes aux thèses freudiennes ou néo-freudiennes cherchant des arguments neurobiologiques et évolutionnistes.
Si par bonheur, cher lecteur, vous deviez vous souvenir de vos rêves, les statisticiens évaluent à une personne sur trois celles qui pourraient se souvenir de leurs rêves. Même s’ils devaient être pénibles ou perturbants, la nature biologique expressive se sera différenciée à notre profit de notre réalité physique de façon transcendante en nous dotant d’un esprit incarné, imageant et, enfin, parlant. Les approches purement physiques ou chimiques des rêves se heurteraient à l’incarnation à la première personne de cette réalité intime et vitaliste que sont les « rêves ».
Frédéric Paulus
Animateur du CEVOI
Président du CEVE (Centre d’Etudes du Vivant Europe)
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