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23 août 2006
Suite au courrier des lecteurs paru hier dans votre journal, je souhaiterais apporter quelques explications sur ma situation.
Cette rentrée 2006 qui s’effectue ces jours-ci sera la première à laquelle je ne participerai pas depuis 7 ans. À 28 ans, je me retrouve licencié de l’Éducation nationale.
D’abord Surveillant d’Externat au Lycée Antoine Roussin de Saint-Louis, j’ai passé et réussi un des concours les plus sélectifs de l’Éducation nationale, celui de Conseiller Principal d’Éducation (200 postes sur la France entière cette année).
La question que je me pose aujourd’hui est : que me reproche-t-on ? N’ayant commis aucune faute grave, reste l’insuffisance professionnelle. Dans ce cas, qu’on m’explique pourquoi l’IUFM de La Réunion a réalisé un référentiel de compétences à mon sujet sur lequel la plupart des cases sont cochées “Acquis”, pourquoi il est mentionné sur des rapports officiels que "les points non observables le sont en raison des spécificités de l’établissement", pourquoi un chef d’établissement et un Conseiller Principal d’Éducation (CPE), expérimentés d’un lycée du Sud sauvage, m’ont félicité pour un stage de trois semaines ? Simplement parce que dans cet établissement, les conditions de travail étaient réunies pour un stagiaire.
Pourquoi ne pas juger tous les stagiaires sur un pied d’égalité ? Soit tout le monde se retrouve dans un établissement difficile où ils sont obligés de ceinturer un élève pour l’empêcher de frapper un enseignant, dans un établissement où ils se retrouvent sans conseiller pédagogique pendant trois semaines à la rentrée, dans un établissement où comme il est mentionné sur des rapports officiels, "les CPE doivent directement aller au rappel à la loi et... la part Conseiller de leur fonction est parfois plus difficile à mettre en œuvre". Soit on affecte tout le monde dans des établissements qui n’ont pas la réputation d’être difficiles et avec un conseiller pédagogique présent du début à la fin de leur année.
Aujourd’hui, je me retrouve au chômage, après en juin 2005 une inspection pour laquelle on m’a téléphoné le lundi vers 16 heures pour me prévenir de l’inspection le mardi matin 9 heures (plusieurs CPE réunis en formation syndicale en novembre 2005 peuvent témoigner de ce fait), et après, en juin 2006, une inspection débutée à 14h30 et achevée à 17 heures. D’autres enseignants ou CPE stagiaires se sont-ils déjà retrouvés dans ces situations ?
Après des années de sacrifice pour mes études, voilà le résultat. Les enseignants, CPE, surveillants, ATOS qui m’ont côtoyé en ma qualité de surveillant ou de stagiaire dans les établissements de Saint-Louis ou Saint-Joseph connaissent l’investissement que j’ai toujours eu dans mon travail et ce malgré avoir été malade du chik.
Malgré ces circonstances, mon combat pour être réintégré, je le mène pour l’instant seul sans aucun soutien syndical (pourtant je suis syndiqué depuis 6 ans).
W. L. : CPE stagiaire licencié de l’EN
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Messages
5 avril 2007, 22:16
Bonjour
Si cela peut vous encourager, ce n’est pas seulement à la Réunion.
Mais c’est dans tous les IUFM de France,que des gens se font licenciés en silence ,de çi de là, pour des motifs qui seraient voisins des votres ou une tête qui ne plait pas.....Même si la raison du plus fort est toujours la meilleur.
Prenez courage, luttez au grand jour, si vous croyez être dans votre bon droit.
Ne négligez pas une reconversion professionnelle aussi..
17 novembre 2008, 12:39
Moi c’est un peut différent, je suis enseignant mais ne sais pas tenir ma classe ! (jet boulette, cri, chahut)
Je voudrais savoir si je peut arrivé à cette même situation !
Merci de répondre !!
11 août 2010, 14:28, par Maestrochoeur
Je viens d’être licencié de l’éducation nationale après 10 années d’enseignement pour INSUFFISANCE PROFESSIONNELLE..!!!
Licenciement abusif, injustifié et incompréhensible !!!
Voir l’actualité sur :
http://estic-maestro.e-monsite.com
Salutations Musicales.
"Maestro".