
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
5 décembre 2016, par
Nous mettant à la place d’un décideur national ou régional, nous devons reconnaître que certaines décisions sont difficiles à prendre. Parer au plus pressé, travailler dans l’urgence, ne laisse pas toujours le temps de l’analyse et de la réflexion. Alors, on se tourne vers l’entreprise, non pas obligatoirement celle qui propose le meilleur rapport qualité/prix, non pas celle dont le premier souci est de servir l’intérêt général, mais celle dont la solidité donne confiance, celle en mesure de réaliser le travail en amont que le décideur n’a pas eu le temps de faire, celle dont l’expérience devrait être une garantie de bonne exécution et de bonne fin. Mais cela a évidemment un coût, et surtout, c’est s’en remettre aux choix techniques stratégiques et scientifiques de l’entreprise.
Notre sentiment est que cette stratégie (ou ce manque de stratégie) prive les décideurs d’une capacité à innover. S’agissant de l’intérêt général, on peut craindre, de la part des grandes entreprises, une frilosité et un conservatisme. Le décideur et l’entreprise ne poursuivent pas les mêmes buts. Aujourd’hui, les choses vont vite. C’est vrai. Aussi, les facultés d’adaptation aux problématiques nouvelles que génère cette accélération de la vie moderne, doit impérativement être à la hauteur des enjeux. Les décideurs doivent donc eux-mêmes réfléchir à ces nouvelles sciences, ces nouvelles stratégies, ces nouvelles techniques. Pour être plus performant et davantage en prise avec les fantastiques et rapides évolutions du Monde des remises en question sont nécessaires. Au travers de cercles de réflexion, de bureaux d’étude et de prospectives, les décideurs doivent anticiper ces problématiques.
Le citoyen, bien sûr fait la part des choses et peut représenter une force de proposition, mais c’est au décideur d’être en pointe dans ce domaine. Notre humanité a atteint un degré de fragilité qui risque de ne pas supporter de mauvaises décisions. Diriger c’est prévoir, il ne faut pas l’oublier.
Association Energie Environnement – La Réunion
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)