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19 avril 2019, par
L’offensive des télécommunications pour le déploiement du réseau sans fil de cinquième génération (5G) se déroule avec l’appui des gouvernements. Les signataires de cet appel, qui dispose de 123 références scientifiques, demandent d’y mettre un terme devant les conséquences pour la santé et l’environnement que cette technologie va provoquer.
« À l’ONU, à l’OMS, à l’Union européenne, au Conseil de l’Europe et aux gouvernements de tous les pays, nous soussignés, médecins, scientifiques, membres d’organisations environnementales et citoyens de 168 pays (au 29 mars 2019), demandons urgemment l’arrêt du déploiement du réseau sans fil de 5G (cinquième génération) y compris depuis les satellites spatiaux. En effet, la 5G entraînera une augmentation considérable de l’exposition au rayonnement de radiofréquence, qui s’ajoutera au rayonnement induit par les réseaux de télécommunications 2G, 3G et 4G déjà en place. Or on a déjà la preuve des effets nocifs du rayonnement de radiofréquence pour les êtres humains et l’environnement. Le déploiement de la 5G revient à mener des expériences sur les êtres humains et l’environnement, ce qui est considéré comme un crime en vertu du droit international. »
Les entreprises de télécommunications à l’échelle mondiale et les gouvernements veulent déployer dans les deux ans le réseau 5G. Cette décision produira un changement sociétal sans précédent. Nous aurons des maisons « intelligentes », des entreprises « intelligentes », des autoroutes « intelligentes », des villes « intelligentes » et des voitures autonomes. Tout ce que nous achetons et possédons, des réfrigérateurs et des machines à laver aux cartons de lait, en passant par les brosses à cheveux et les couches pour bébés, contiendra des antennes et des micropuces et sera connecté à Internet. Toute personne sur terre aura accès instantanément à des communications à très haut débit et faible latence, dans les coins les plus reculés, jusque dans les forêts pluviales, au milieu de l’océan et dans l’Antarctique.
Cette nouvelle réalité entraînera aussi un changement environnemental sans précédent. Il est impossible d’imaginer la densité prévue des émetteurs de radiofréquences. Outre les millions de nouvelles stations de base terrestre 5G qui seront installées et les 20000 nouveaux satellites lancés dans l’espace, 200 milliards d’objets émetteurs feront partie de l’Internet des objets dès 2020, et un billion (mille milliards) d’objets quelques années plus tard. Il y a un déploiement commercial de la 5G à basse fréquence et à faible débit au Qatar, en Finlande et en Estonie mi‑2018. Le déploiement de la 5G à très haute fréquence (ondes millimétriques) devait commencer fin 2018.
Malgré un déni généralisé, les scientifiques disposent de preuves accablantes indiquant que le rayonnement des radiofréquences est nuisible. Les données accumulées sur des personnes malades ou ayant des troubles de santé, les preuves expérimentales de dommages à l’ADN, aux cellules et aux organes de végétaux et d’animaux et les données épidémiologiques, prouvent que les grandes maladies de la civilisation moderne — cancer, les maladies du cœur et diabète — sont en grande partie provoquées par la pollution électromagnétique ; ce sont 10.000 publications dans des revues avec comités de lecture.
Si les plans de l’industrie des télécommunications pour la 5G se concrétisent, pas un être humain, un mammifère, un oiseau, un insecte, un brin d’herbe, quel que soit le lieu de la planète où il se trouve, ne pourra se soustraire à une exposition permanente à des niveaux de rayonnement de radiofréquence des centaines de fois supérieurs à ceux que l’on connaît aujourd’hui. Aucune échappatoire. La 5G risque d’avoir des effets graves et irréversibles sur les êtres humains et causer des dommages permanents à tous les écosystèmes terrestres.
Des mesures doivent être prises pour protéger l’humanité et l’environnement selon les impératifs éthiques et les conventions internationales.
Signer l’appel : www.5gspaceappeal.org
Bruno Bourgeon,
D’après Reporterre
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