
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
30 mars 2023, par
Lancé en 2014, le festival Geneva Lux présente des œuvres d’art faites de lumière, créées et mises en scène spécifiquement pour Genève par des artistes suisses et étrangers. Ces créations lumineuses sont présentées en centre-ville.
Ces créations contemporaines investissent les espaces publics. Alliant modernité et tradition ainsi qu’innovation technique et artistique, Geneva Lux illumine la ville avec des œuvres d’art originales d’artistes d’ici et d’ailleurs, présentant le patrimoine de la ville sous un nouveau jour.
En se plongeant dans les réflexions de la Suisse pour un avenir durable et lancer les visiteurs dans des discussions et des émotions, le projet Suisse « Reflections » à l’Exposition universelle de Dubaï invitait à réfléchir au nomadisme des idées inspirantes, à la fascination des rencontres rares, à cet extraordinaire magma de terreurs de prévisions, de cataclysmes.
Une démonstration que les industries culturelles innovantes peuvent nous plonger jusqu’au cou dans les passions, espoirs, misères et anticipations des hommes. A l’image de la disparition de Sissi, assassinée à Genève en septembre 1898.
Revisiter la statue de Sissi pendant la programmation de Geneva Lux peut être l’occasion de questionner le caractère à jamais contemporain, de cette vision qui confronte toutes les terreurs de l’homme à toutes ses raisons d’espérer.
Avec le projet “Sissi l’Africaine”, les visiteurs et visiteuses pourraient devenir les protagonistes d’un jeu de miroirs, de couleurs et de lumières douces atténuées par le brouillard alpin sur les bords du Lac Léman, pour ensuite réapparaître dans un environnement urbain innovant et durable.
Un projet sensible et artistique pourrait naître de l’intégration du prisme de la lumière et sa représentation symbolique au pied de la statue de Sissi à Genève via une façade miroir interactive au sol et une traîne de tissu de soie Ndop qui offre une continuité avec la silhouette de la statue, à proximité de l’hôtel Beau-Rivage où la princesse a séjourné.
Par la suite, l’idée serait de développer un parallélisme artistique et afro-futuriste entre Sissi et l’empreinte du tissu Ndop, vêtement rituel par excellence des sociétés secrètes.
Depuis des générations, son usage n’était réservé exclusivement pour des Rois, des reines, des notables et des sociétés secrètes. Le Ndop est un textile présent chez les Bamiléké et alentours varie avec le lieu, les couleurs, les teintes, le type de coton, la surcouture en raphia, les décorations et motifs des dessins. L’emploi du Ndop et sa décoration daterait du XVIIIe siècle. Des spécimens d’un tissu de même type datent des XVe et XVIIe siècles. La chefferie de Baham conserve des anciens spécimens de costumes Ndop difficiles à dater. C’est à partir du XVIIIe siècle que la technique du Ndop s’améliore pour aboutir à sa forme actuelle.
Le Ndop est le plus riche en signification parmi les étoffes traditionnelles Bamiléké. Par sa valeur symbolique particulière, c’est le vêtement rituel par excellence des sociétés secrètes.
Le projet présenté par l’artiste-designer Suza Créa entend réinventer la place du tissu Ndop et sa relation à la lumière dans l’espace urbain.
Au Cameroun, la Fondation camerounaise Jean-Félicien Gacha possède un important fonds de tissus Ndop, dont la richesse ornementale a inspiré un carré aux Anamorphée de la Maison de luxe française Hermès.
Les tissus Ndop des Bamiléké, habitants de la savane camerounaise, en Afrique centrale, sont faits de coton tissé en bandes étroites. Si cette première étape est réalisée dans le Nord du pays, non loin de Garoua, ce sont ensuite les femmes Bamiléké qui appliquent à l’aide de fil de raphia les motifs qui seront teints en réserve à l’indigo.
Poussée par un besoin de liberté, l’impératrice Sissi est parti pour Madère, une île portugaise de l’océan Atlantique, au large de la côte nord-ouest de l’Afrique. La reine d’Angleterre, Queen Victoria, lui avait prêté un yacht pour un départ le 17 novembre 1860 depuis Trieste en Italie.
Kevin Lognoné
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Tou-lé-zan, dann moi zanvié-févrié, Tikok i sa rod gèp ek son bann kamarad. Zot i tras dann piton, la savann, la ravine… partou, é, souvandéfoi, i (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)