
Kèl volonté zénéral ! In pé la boir kossa !
30 juin, parMézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Technologie éducative
6 février 2013
La tablette était, sans conteste, le cadeau favori des fêtes de fin d’année. Petits et grands en ont profité. Les ventes ont doublé en 2012 et les prévisions pour les années à venir laissent penser que la révolution tablette est en marche. Elle devrait changer nos habitudes. Comment l’école va-t-elle s’adapter à ce phénomène ? Quelles utilisations pourrait-elle en faire ? Quelles conséquences ?
On le voit dans nos familles, chez des amis, à l’école, les jeunes adorent ce nouvel outil multimédia. Et pour cause ! Avec cette petite table numérique, on peut apprendre, lire, jouer, créer, surfer sur Internet, photographier, s’amuser en solo ou à plusieurs… Le tout avec un appareil léger, maniable, esthétique et qui a, de plus, une bonne autonomie de fonctionnement.
Aussi, les acteurs du monde éducatif s’intéressent à son application à l’école. Sur le site “Eduscole” du Ministère de l’Éducation nationale, nous pouvons lire que : « Les tablettes tactiles ouvrent des perspectives et entraînent de nouvelles questions pour le monde du numérique éducatif. La DGESCO (Direction générale de l’enseignement scolaire-NDLR) entreprend un travail d’analyse et de suivi des usages, des ressources et des services associés, en particulier à travers plusieurs expérimentations dans les académies. Les perspectives d’usage du numérique changent-elles avec les tablettes tactiles ? Les tablettes peuvent-elles devenir les ardoises numériques des élèves et des enseignants ? »… « Après les dotations pionnières d’ordinateurs portables pour les élèves (département des Landes, des Bouches-du-Rhône...), les tablettes tactiles sont un nouvel outil dont on attend des solutions à plusieurs problèmes techniques pour une utilisation pédagogique du numérique plus aisée ».
L’utilisation des tablettes offre de multiples centres d’intérêt, par exemple :
- l’allègement du poids du cartable
- la facilité de connexion à l’Internet
- la mobilité dans et hors la classe
- des contenus éducatifs spécifiques : ressources pédagogiques numériques de qualité et en adéquation avec les programmes de l’Éducation nationale
- une interopérabilité des tablettes avec les ressources et les logiciels courants et diffusés dans les établissements scolaires...
La Réunion pourrait l’utiliser comme moyen de lutte contre l’illettrisme, avec une utilisation adaptée. En tous les cas, un tel appareil préoccupe même au plus haut niveau.
Quant aux enfants, ils sont toujours plus motivés par l’utilisation des nouvelles technologies. Cependant, la technique va vite, plus vite que n’évoluent véritablement les pratiques pédagogiques et usuelles. Nous l’avons constaté pour les ordinateurs. On a longtemps entendu parler de la formation des enseignants, du développement d’outils pédagogiques numériques, de l’équipement des salles de classe en ordinateurs, mais malgré l’engouement des élèves et un réel intérêt pour cet outil, il existe encore des écoles à La Réunion où il n’y a même pas une salle informatique pour une utilisation ne serait-ce qu’occasionnelle des ordinateurs ! 20 ans de retard entre des établissements situés sur un même territoire ne semblent pas émouvoir grand monde.
Plaidons pour que la jeunesse bénéficie de ces nouvelles technologies attractives et non pas qu’elle les subisse comme un grand nombre de jeunes subit déjà le fait de ne pas savoir lire et écrire. Sinon, le fossé continuera de se creuser dans la société réunionnaise.
Julie Pontalba
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Messages
25 avril 2013, 10:48, par i974Learning
L’introduction des Tics à l’école a beaucoup changé la face de l’éducation. Malheureusement la France accuse un retard considérable en matière d’e-learning.
A la Réunion, des initiatives en direction de l’usage des TICEs ont vu le jour mais il reste encore beaucoup à faire.
Le projet de loi visant à faire entrer l’école dans l’ère numérique arrive enfin mais cela prendra encore du temps car il faudra accompagner cette évolution par la formation du personnel enseignant lui-même en matière d’e-learning. En effet, un bon prof en présentiel n’a pas forcément toutes les compétences pour guider un apprenant en ligne tout comme l’apprenant en ligne ne sait pas forcément exploiter des activités éducatives diffusées en open source.
Avec la révolution des TICEs, le rôle de l’enseignant a changé : il n’est plus celui qui détient tout le savoir car il est constamment challengé par la masse de données librement accessibles par les élèves sur Internet.
Ce challenge passe également par un constat assez paradoxal : est-ce l’enseignant ou l’élève qui apprend à l’autre ? En effet, l’enseignant est désormais défié en permanence par ses propres apprenants par la non-maîtrise d’outils numériques essentiels à l’apprentissage en ligne ...