
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Philippe Jean-Pierre, professeur d’Économie et candidat de l’Alliance
8 mars 2010
Philippe Jean-Pierre explique que la prochaine mandature est une période charnière pour La Réunion. Ces aspects économiques seront développés plus largement lors d’un petit déjeuner débat demain à l’Hôtel Créolia avec les acteurs économiques, sur le thème ’Pour une vision partagée du développement économique de La Réunion’.
Pouvez-vous en quelques mots décrire votre parcours :
Mon parcours est tout simplement celui d’un Réunionnais qui souhaite redonner à son île ce qu’elle lui a apporté. Originaire de l’Entre-Deux, j’ai vécu à Saint-Denis, où j’ai bénéficié de l’attention d’une famille altruiste. Après un parcours scolaire riche en expériences de vies et de quartiers (la Providence, La Source, le Chaudron où a vécu ma Grand-Mère), j’ai fait le choix en 1991 de continuer mes études à Paris, où j’ai découvert que la vie n’était pas tous les jours facile. Parallèlement à mes études d’économie (en magistère et en DEA, puis en thèse de doctorat) à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne, j’ai compris que je devais tôt ou tard recroiser le fer avec les fléaux qui freinent le développement de l’île et de ses habitants.
Cela ne pouvait se faire immédiatement après mon retour sur l’île en 1999 car j’ai considéré que je devais encore comprendre comment une économie réelle insulaire fonctionne. Ma décision de répondre à un appel à candidature pour diriger l’AGORAH, après avoir dirigé un service de formation continue, participe de cette volonté de poursuivre ma compréhension du fonctionnement de l’île. C’est donc aujourd’hui un économiste, lauréat du concours d’agrégation des universités en sciences économiques en 2002 et connaissant le territoire réunionnais et son fonctionnement qui a décidé de pousser plus loin son engagement au service de La Réunion en adhérant au programme de l’Alliance et aux visions du Président Paul Vergès pour ces élections régionales 2010, qui sont peut être les plus importantes depuis l’instauration du Conseil Régional.
Quelles sont les raisons qui vous ont amené à vous intéresser à votre domaine de compétence ?
Naturellement, mes engagements au service de l’économie de La Réunion depuis maintenant plus de quinze ans. Et aussi, la volonté clairement affichée par l’Alliance de souligner l’importance des enjeux économiques pour la prochaine mandature mais aussi pour les quinze prochaines années.
L’économie comme facteur important de la réussite du projet de développement durable est incontestable. Il était donc logique pour un économiste, engagé au service de son île, de mettre son énergie au service d’un homme politique qui depuis plusieurs décennies a démontré sa capacité à voir loin. Or, de par mes orientations en matière de recherche, je suis également sensibilisé aux préoccupations de long terme de nos économies.
Comment pensez-vous contribuer à la réussite du projet réunionnais de développement durable ?
Ma contribution principale à la réussite du projet ne passe pas forcément par mon niveau d’expertise en économie. Car au-delà de mes activités d’universitaire, de chercheur, j’ai acquis depuis plus de dix ans une véritable compétence en compréhension des enjeux du territoire réunionnais à travers mon accompagnement de plusieurs instances locales et mes fonctions managériales.
Dans ce cadre, je suis fortement convaincu, que pour relever les défis qui sont devant nous et pour accompagner l’économie réunionnaise vers un nouveau modèle de développement, La Réunion a besoin de personnes à la fois compétentes et créatrices de consensus. Et je crois que c’est là une des originalités incontestables de la liste de l’Alliance. Et puis surtout, j’ai pleinement conscience au sein de la liste d’appartenir à une équipe de rêve ou chacun d’entre nous est persuadé que la réussite de notre engagement passe par une véritable solidarité au service de La Réunion.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)