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Premier bilan du Festival international de la jeunesse réunionnaise
16 juillet 2011
Président de l’Alliance des jeunes pour la formation et l’emploi à La Réunion, il est à l’initiative du Festival international de la jeunesse réunionnaise (FIJR), organisé le 14 juillet 2011 à Saint-Louis.
Quel bilan faites-vous du FIJR ?
— C’est avec très grande satisfaction que l’on a pu célébrer l’Année internationale de la jeunesse à La réunion. Notre île est donc de ce fait le seul département français, à ce jour, à avoir célébré cet événement.
L’objectif que nous nous sommes fixés a été atteint, tant dans la forme que sur le nombre. Nous avons enregistrés 395 entrées et tout s’est déroulé comme nous l’avions prévu.
Ce festival est une grande réussite, surtout parce que nous avons pu voir autant de jeunes qui ont de suite pris conscience des raisons qu’ils les avaient amenées à venir participer à cette journée, et du rôle qu’ils avaient joué.
Ils n’ont pas hésité une seconde à être acteur du festival, comme cela a été le cas avec la démonstration de danse de l’association comorienne, à l’ouverture du festival, avec la présence d’associations dans le village associatif et des centaines de jeunes à l’écoute des interventions et des débats. Le festival a été l’occasion pour les jeunes de s’exprimer librement par les actes et par les paroles, et cette liberté très souvent brimée sera renouvelée.
Les jeunes présents ont démontré qu’ils étaient capables pour leur pays. Nous tenons également à remercier la présence des élus, et rappelons que nous avons envoyé des invitations à tous les élus de La Réunion mais ceux qui ne prennent pas en considération les aspirations de la jeunesse assumeront les conséquences d’un désordre social qui est inévitable, si l’on ne prend pas des mesures d’urgence pour sortir les jeunes de la précarité.
Quels enseignements tirez-vous de ce festival ?
— Les jeunes savent se retrouver sur un projet, et on voit qu’ils ont énormément d’idées pour leur avenir et celui de La Réunion. Les décisions de ceux qui nous dirigent sont encore bien loin de ce qu’attendent les jeunes. Chacun d’entre eux a des préoccupations différentes et chacune d’elles sont importantes. Il est donc primordial d’échanger et de trouver des solutions concrètes avec eux et pour eux, car il n’y a qu’eux qui savent comment résoudre leur problèmes.
Les débats ont montré que les jeunes se sont accaparés les thématiques, les mots d’ordre et le slogan de l’ONU qui est « Notre année, notre voix ». Nous devons tirer les leçons de ce festival et de cette année, mais aussi prendre exemple sur les Seychelles, où le créole est reconnu et a une place prépondérante dans les instances.
L’ONU nous a fait comprendre que c’est par le dialogue et la compréhension mutuelle que nous pourrons évoluer et faire avancer notre peuple. C’est pour cela que le choix d’avoir fait le discours d’ouverture en français et le discours de clôture en créole a été un moment important au cours de ce festival.
Nous devons arrêter de mettre en concurrence le français et le créole, plus que jamais nous devons donner au créole la place qu’est la sienne.
Le festival est ainsi là pour rassembler les jeunes de tous bords avec ou sans diplôme, on a chacun nos difficultés. Etre diplômé ne garantit pas aujourd’hui d’avoir un avenir, et de même, ne pas être formé ne signifie pas que l’on n’a pas de compétences et qu’elles ne peuvent pas garantir son avenir et l’avenir de La Réunion.
Le FIJR est un succès, quelles sont les perspectives ?
— Tout nous est ouvert avec la réussite de ce festival. Tout est possible. Nous ne devons pas laisser tomber la dynamique et l’espoir que l’on a donné aux jeunes, continuer à les accompagner et à les rassembler.
Après les vacances scolaires, nous allons nous mettre à la préparation du prochain festival en élargissant le comité de pilotage au plus grand nombre, en allant à la rencontre des jeunes, en les écoutant et avec eux, nous déciderons d’une forme, d’un lieu et d’une date pour le prochain festival.
Le document de travail remis aux jeunes lors du FIJR le 14 juillet sera enrichi par les débats de cette journée.
Ce projet sera également envoyé à l’ONU, les élus, les candidats aux prochaines élections présidentielles. Un film sera également envoyé à l’ONU, aux pays de la zone et notamment à nos amis seychellois, tout particulièrement, Maria Paulin et Juliette Allissop, que nous remercions d’avoir participé à ce festival. Nous remercions également les associations et les jeunes présents ainsi que tout le comité de pilotage.
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23 juillet 2011, 17:11, par MARIE JULIETIMON
PREMIERE FOIS QUE NOUS AVONS DROIT A UN FESTIVAL INTERNATIONAL DE LA JEUNESSE OU PLUTOT L’ANNéE 2011 EST L’ANNéE INTERNATIONALE DE LA JEUNESSE ? MOI J’AIMERAIS QUE çA SE FASSE TOUS LES ANS ? DONC L’ANNéE 2012 RECOMMENCEZ CETTE INITIATIVE
çA NE PEUT ËTRE QUE BéNéFIQUE POUR NOS JEUNES DE LA RéUNION QUI ONT LE MORAL DANS LA CHAUSSETTE AVEC LE CHÔMAGE ? L’INSéCURITé . ON A TENDANCE à LES CRITIQUER DE TROP ? EST-CE DE LEUR FAUTE S’ILS N’ONT PAS DE TRAVAIL . IL NE FAUT PAS LES METTRE TOUS DANS LE MËME PANIER ? MOI J’AI DE LA CHANCE MON FILS AINé A DU TRAVAIL DEPUIS SES VINGT DEUX ANS MAIS D’AUTRES N’ONT PAS MALHEUREUSEMENT 7 CHANCE ALORS AU LIEU DE LES CRITIQUER IL FAUT LES COMPRENDRE OU DU MOINS ESSAYER ET FAIRE TOUT POUR LEUR RENDRE LA VIE UN PEU PLUS BELLE COMME CE MONSIEUR QUI SE NOMME GILLES LEPERLIER QUE JE NE CONNAIS PAS PERSONNELLEMENT MAIS QUE JE FéLICITE POUR CETTE BELLE ACTION , N’EST-CE PAS ?????????????????????????