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Bernard Batou et Bruno Bamba signent “Lé ankor tan…”
2 avril 2009, par
Entre Bernard Batou et Bruno Bamba, c’est le coup de foudre… pour La Réunion. L’un est journaliste, l’autre photographe, ils ont marié leur profession et passion et habillé de poèmes et clichés un recueil intitulé “Lé ankor tan…”. Lété tan !
Qu’est-ce qui vous lie ?
- L’amitié, et elle ne date pas d’hier. D’autant plus qu’aujourd’hui, nous travaillons à la SR21. Lui est Chargé de mission prises de vue, c’est-à-dire photographe et caméraman, et moi Chargé de communication sur le Tram-train et développement durable. Ces professions, nous les avons exercées dans la presse locale et quotidienne auparavant.
Mais encore ?
- La Réunion nous lie aussi. Son histoire, ses hommes, ses femmes, sa culture nous passionnent. Je me suis intéressé et m’intéresse à la vie des aînés. Bruno aussi ! De plus, il est des soirées musicales (kabar), des sorties dominicales... Jamais sans son appareil photo et sa bien aimée ! Dans son viseur, il suit le doigt sur le déclencheur les émotions, les saisit et les offre aux lecteurs.
Comment s’est fait le mariage des poèmes et des photos ?
- Bruno dispose donc d’une banque de clichés. Je lui remets mes poèmes. Avec elles, il est au petit soin, les lit, en saisit le sens. “Abreuvé” et inspiré, il se lance à la quête de photographies. Elles bouleversent, choquent, attendrissent, émeuvent. En fait, c’est son professionnalisme qui a parlé.
Pourquoi “Lé ankor tan…” ?
- Je souhaite faire passer des messages, sensibiliser l’opinion sur des thèmes qui doivent nous interpeller comme le développement durable, les richesses de la nature, le bonheur, le partage, la solidarité, le respect de la dignité humaine, se projeter dans l’avenir et rêver d’un monde de fraternité et de paix pour tous, le dire en toute simplicité en utilisant comme support de communication la poésie, voilà les objectifs que je me suis fixé dans “Lé ankor tan…”.
Vous bouillonnez, vous avez autre chose à nous dire ?
- Oui, oui, oui. Nous sommes capables de réaliser et de valoriser des projets. Pour cela, allons de l’avant, prenons-nous en main. “Lé ankor tan…” de bouger, d’agir, d’interpeller, de sensibiliser et de travailler à un vrai modèle de développement pour La Réunion. Notre héritage, nous devons le laisser intact et le transmettre à nos enfants. En conclusion, nous devons tous être acteurs du développement de notre pays.
Entretien : Jean-Fabrice Nativel
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