
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
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Trois questions à Françoise Vergès
11 mai 2011
Le 10 mai 2011 dans les Jardins du Palais du Luxembourg, avant le début de la cérémonie de commémoration de la Journée nationale du souvenir de l’esclavage, de la traite et de leurs abolitions, la présidente du Comité de la mémoire et de l’histoire de l’esclavage a été interrogée par la chaine parlementaire. Elle apporte un éclairage sur cette journée.
Au sujet des documents présentés au président de la République ?
- Il s’agit de retracer le chemin de l’esclave au citoyen. Vous avez un premier temps, la traite, deuxième temps c’est la plantation, troisième temps c’est la liberté, l’entrée dans la citoyenneté. Nous avons ce chemin de quelques siècles qui inscrit les esclaves profondément dans les idéaux que nous défendons : de liberté, d’égalité, de fraternité.
Pourquoi la France a-t-elle mis autant de temps à reconnaître l’esclavage en tant que crime contre l’humanité ?
- Vous êtes le pays qui a déclaré l’universalité des droits au monde et vous continuez à pratiquer l’esclavage. Il y avait donc une part de honte, une part de vouloir effacer. Mais comme on le sait souvent, connaître son histoire, c’est vraiment prendre une responsabilité citoyenne, être pleinement citoyen.
La loi Taubira a 10 ans, quel bilan aujourd’hui, notamment auprès des jeunes publics ?
- Des progrès sont faits, mais beaucoup reste à faire, notamment dans le monde de l’éducation. Nous sommes très contents qu’il y ait des enfants. Chaque année, nous insistons pour que des enfants des écoles puissent assister à cette cérémonie. Nous espérons qu’ils en retiendront quelque chose. L’éducation a encore un gros effort à faire.
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