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FIJR
7 juillet 2011, par
Le président de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) est membre du Comité de pilotage du Festival international de la jeunesse réunionnaise, qui aura lieu le 14 juillet 2011 au Scénopolis, à Saint-Louis.
Pourquoi vous êtes-vous engagé dans cet évènement ?
— Parce que j’estime qu’il faut donner de la place aux jeunes, qui représentent la société de demain. Il faut dire que nous, jeunes âgés entre 18 et 25 ans, serons responsables de la société de demain, il faut donc être acteur de celle-ci. Le festival est une étape dans un processus au sein duquel les jeunes prendront toute leur place. Cet engagement est dû à ma mission envers les étudiants, chaque jour les membres de l’UNEF doivent faire face aux difficultés des étudiants, on espère donc beaucoup de ce festival.
Personnellement, après le Festival mondial de la jeunesse et des étudiants de décembre 2010 en Afrique du Sud, je me suis dit que c’était une occasion de voir des gens venus de la zone océan Indien, c’est une chance personnelle d’échanger avec eux et de connaître les problèmes qu’ils rencontrent. Ceux-ci s’avèrent souvent être les mêmes que les nôtres, c’est intéressant de voir comment est-ce qu’ils voient les choses.
Il s’agit également de l’avenir de La Réunion, car le festival peut être une étape importante pour les jeunes Réunionnais, car il existe plusieurs organisations qui peuvent faire entendre la voix des jeunes. Mais ce festival est au-delà des clivages politiques et syndicaux, il va réunir une jeunesse plurielle ou chacun aura sa place. Des jeunes qui viennent d’associations, de syndicats, de partis politiques, des jeunes qui ne sont pas engagés, et qui pourront tous œuvrer et réfléchir à l’avenir de La Réunion.
Selon vous, quels sont les objectifs visés pour le FIJR et La Réunion ?
— Il y a deux objectifs majeurs pour ce festival : faire le constat avec ceux que l’on ne voit pas habituellement, c’est pour cette raison qu’il est important de rencontrer cette jeunesse plurielle. Des jeunes qui ne sont pas engagés et qui sont souvent trop résignés face à la société et au monde. Faire des propositions pour et par les jeunes Réunionnais afin qu’ils s’expriment et mettent en avant leur réflexion, leurs idées et sur leurs expériences pour faire évoluer La Réunion.
D’autant plus que les jeunes ne sont plus accompagnés par le système et doivent aujourd’hui ne compter sur eux-mêmes. Quand on réfléchit à l’avenir et au développement de La Réunion, ce n’est plus une question de politique, mais d’intérêt général, on doit tous se retrouver sur les grandes lignes, tels que la gouvernance, le logement, les transports, l’emploi et entre autres, les relations extérieures.
Comment pensez-vous que les objectifs visés soient mis en place sur le long terme à La Réunion ?
— Pour cela, il faut que chacun accepte de tenir compte de la vision des jeunes. Mais il y a un blocage, un manque d’attention envers les jeunes. Les politiciens parlent des jeunes, mais ne prennent pas en compte leurs besoins et leurs idées. Le festival est l’occasion de faire des propositions et ce seront les politiciens qui devront mettre en place ce que nous, les jeunes, nous demandons.
Propos recueillis par Céline Tabou
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