Marie-Thérèse, l’inauguration du Jardin de l’État

Un beau moment

13 juillet 2009, par Jean Fabrice Nativel

Marie-Thérèse était des invités de l’inauguration du Jardin de l’État. Ses allées, elle les connaît bien pour y venir se ressourcer régulièrement. Sous les feuillages des arbres majestueux qui forment un parasol géant, elle médite pour un monde meilleur.

Le jardin de l’État, vous le connaissez bien ?

- Je viens très souvent au Jardin de l’État pour me promener, me reposer. J’aime beaucoup être assise sur l’herbe et regarder. C’est si beau la nature. On se sent bien au milieu des arbres, des fleurs, des plantes, des animaux. Bien avant la dernière restauration, le premier changement important a été l’arrivée des gardiens qui sont très attentifs et très présents : avant nous ne nous sentions pas en sécurité. Je les remercie comme ceux qui entretiennent le jardin et qui ont travaillé vite et bien pour que tout soit prêt pour samedi.

Vous étiez de l’inauguration ?

- L’inauguration a été un beau moment, une joie de voir tout ce monde heureux réunis pour vivre cette fête : avec les moringueurs qui ont fait l’ouverture, la visite guidée, la plantation d’un petit arbre par les autorités… Certains ont écouté les discours d’autres sont allés voir les stands. À celui de la poste, j’ai acheté des enveloppes timbrées du jour créées pour l’événement. Le dépliant gratuit sur les arbres remarquables m’a permis d’aller de l’un à l’autre, de mieux connaître leur origine, des les admirer. La brochure vendue, détaillée avec les dessins est comme un hommage enfin rendu. Il y avait foule qui mangeait sur place. Les fontaines d’eau à boire étaient aussi appréciées que les jeux d’eau pour les enfants qui ont enfin un espace rien que pour eux.

Avez-vous un souhait ?

- Oui à gauche de la grande allée qui mène au muséum si intéressant, je verrais bien des chevaux, des éléphants, des tigres à pédales : cela permettrait de créer deux emplois au moins avec la location de ces petits véhicules pour enfants qui feraient leur bonheur et égayeraient l’espace rectiligne et un peu vide.

Texte et photo Jean-Fabrice Nativel 

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