
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
2 juillet 2007
Ferme les yeux et imagine. Quelque part, il est un lieu. Un lieu à multiples facettes. Des salles, des petites, des moyennes aussi, des grandes surtout. Tu peux y venir, qui que tu sois, à tout moment de ta vie. Tu y viens pour apprendre, pour te former, pour améliorer ce que tu sais déjà. Tu viens pour apprendre à mieux communiquer avec les autres et aux autres. Tu y viens pour apprendre à mieux regarder ce que tu vois, à mieux voir ce que tu regardes, à mieux dire ce que tu as lu. Tu y viens pour mieux découvrir l’évolution du monde, ses perspectives, les rendez-vous qu’il nous réserve, à toi, à moi et à tous les autres.
Imagine : en ce lieu ouvert à tous, à ceux et celles qui acceptent que l’autre puisse être différent, on y enseignerait, on s’y enseignerait la vie. Ce serait l’école de notre vie. De notre vie à tous, associés les uns avec les autres. Cadres et autodidactes s’y rencontreraient dans un parcours aux voies multiples d’insertion, de réussite professionnelle, d’ouverture culturelle, de plus grande perception des grands courants qui traversent et influencent nos sociétés et au rythme desquels nous avons et aurons à avancer. Une sorte de vraie université populaire.
Ce lieu va exister, il va bientôt s’ouvrir à chacun d’entre nous. Nous pourrons y rencontrer d’autres pour une démarche formatrice.
Jeudi soir, le Conseil Municipal de Port a en quelque sorte acté son implantation quelque part, sans doute en deux, trois ou quatre lieux rassemblés ou disposés dans la ville, là où dix ou vingt personnes pourront prendre place autour d’une table et apprendre à mieux comprendre pour mieux restituer ce qu’ils ont à communiquer.
En écoutant notre collègue Conseillère Marie-Paule Fanchin présenter le projet assorti d’une confortable subvention de la ville, je me plaisais à imaginer combien « la promotion de la Formation des Autodidactes et des cadres » mérite qu’effectivement une grande association en fasse le point fort d’une démocratie réellement participative.
Je ne doutais pas alors que le principal initiateur de cette démarche saura en faire un outil qui permette au militant qui vit au fond de chacun d’entre nous de devenir un acteur utile et désintéressé de la vie de son quartier, de sa ville, de sa région. Un acteur vivant et non pas subissant.
Apprendre à ne point lire mais à dire des choses, à anticiper sur ce qui nous attend, à entraîner les autres non pas à nous suivre parce que nous serions l’unique leader mais à participer parce que chacun a son rôle et sa part de responsabilité à remplir : je ne doute pas que cela soit possible. C’est fortement souhaitable et urgent C’est tellement urgent, au point d’être dramatiquement nécessaire... J’y pensais jeudi soir au Conseil Municipal en nous écoutant.
Puissions-nous être nombreux à nous y engager alors.
Raymond Lauret
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