
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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7 octobre 2004
Convié vendredi dernier par Pédro Gamassia et les dirigeants de l’École de football du Port à m’adresser aux jeunes qui venaient de vivre une session d’initiative à la fonction d’arbitre, sachant que le discours de Messieurs Sergio Erapa, vice-président de l’OMS, André Hung Chei Tui, vice-président de la L.R.F. et Bernard Paris, président de la CRA, seraient d’un haut niveau sportif, je choisis de dire à mes ados d’auditeurs que, bien plus que le président de la République qui dispose pour prendre ses décisions et les appliquer, d’un important aréopage de conseillers, de ministres et de fonctionnaires, l’arbitre est seul sur le terrain, face à onze joueurs qui disputent à onze autres la maîtrise d’un ballon unique, au milieu d’un public susceptible d’en faire le bouc émissaire en cas toujours possible de défaite d’une des deux équipes.
Mon allusion à Jacques Chirac ne sembla pas surprendre un auditoire manifestement affûté aux choses de la vie politique. Tout au plus, y eut-il quelques sourires du genre à chuchoter : "mais, bien entendu, bien entendu..."
Et ils ont bien raison, les apprentis arbitres, de savoir que le président de la République est abondamment entouré et que pas une seule des orientations qu’il prend n’échappe aux mille réseaux qui pèsent les avantages et les inconvénients, le prix à mettre dans l’offensive à mener, les chances de réussir le K.O.
Aussi, lorsque le président lance l’idée d’un référendum sur la Constitution européenne, comment croire qu’il a trouvé tout seul que cette simple initiative, d’abord innocent, allait donner un peu d’air à Jean-Pierre Raffarin et mettre une énorme pagaille dans le camp adverse ?
Un arbitre de football, quand il siffle une faute, dans la seconde qui suit, s’attire une série de mécontentements. En lançant prématurément la campagne du référendum, Jacques Chirac s’offre un long virement de répit. C’est pas du grand art, ça ?
Raymond Lauret
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