Façon de dire les choses !

9 juin 2005

(page 2)

De quoi est faite une journée de militants ? De choses simples, assurément. De choses simples et naturelles. On en connaît qui ont passé en revue l’actualité et qui devront en donner l’avis du Parti. Ce sont nos élus qui dans leurs mairies, qui dans leurs collectivités respectives animent ou assistent aux travaux des commissions. Ce sont ceux-là qui, à l’écoute des populations pour qui la vie ne manque pas de poser mille problèmes, doivent trouver les mots qui réconfortent, les portes où frapper, la bonne intervention à faire.
Ce mercredi, comme d’autres d’entre vous, j’ai eu ma petite quantité d’actes militants qui m’attendaient. Rencontrer l’équipe paroissiale du Port réunie autour du Père Sylvain Labonté pour examiner tous les problèmes qu’il va falloir résoudre le 20 août à l’occasion de la journée sportive de l’église, en plein JMJ de Cologne, cela est un acte militant auquel, bien volontiers, j’ai souscrit. Surtout que l’idée d’un atelier axé sur "la parole et la Foi du sportif" m’a semblé intéresser au plus haut point mes interlocuteurs auxquels j’ai appris que Gilbert Aubry était, du temps de ses plus jeunes années, un sprinter qui avalait un 100 mètres en un temps tout à fait respectable !
Mais il fut aussi donné au défenseur de “Témoignages” que je veux être, l’occasion de ramener dans les rangs de nos abonnés quelqu’un qu’un accident de la circulation (façon de dire les choses !) avait fait que, sans s’en rendre compte, il était “désabonné”.
Il s’agit de mon ami O. D. avec qui j’avais, il y a une semaine à peine, fait le pari qu’il viendrait saluer le personnel du journal fondé par le docteur Raymond Vergès et se “réabonner”.
Ce fut fait, hier donc, sur le coup de 14 heures. Abonnement de soutien, bien entendu.

R. Lauret


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