
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
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24 mars 2007
Peut-être l’avez-vous déjà vue... Il suffit pour cela que vous soyez parfois mêlé à ceux et celles qu’on a invités quand, ici ou là, une dame est à l’honneur. Vous ne pouviez pas par exemple la rater le soir du 8 mars pour la Journée internationale des Femmes et, toujours à la Région, une semaine plus tard pour l’hommage rendu à Maud Fontenoy ou encore au Tampon quand Mémona Hintermann se voyait décerner le titre de citoyenne d’honneur de la ville.
Si vous l’avez déjà vue, peut-être avez-vous noté qu’un sourire éclaire son visage, y posant un air de sérénité qui rime avec éternité. Elle a le regard qui recherche dans l’ambiance générale le petit quelque chose qui jaillira à un certain moment forcément, pour bien montrer qu’il n’est pas vain qu’on ait dit un jour que « la femme est l’avenir de l’homme ».
Je l’imagine heureuse quand elle a trouvé et qu’elle écrit qu’« il y a des semaines comme ça où les ronchons peuvent ronchonner, les médisants médire et les empêcheurs de tourner en rond « aller battre carré » ailleurs ».
Elle appelle ça de l’optimisme, ça lui donne du bonheur, de la joie. Alors, elle ne peut s’empêcher de s’exclamer : « Dieu, que c’est bon ! »
Ce jeudi, elle nous a donc emmené dans les pas et un peu dans la vie de Maud Fontenoy et de Mémona Hintermann après voir fait le détour jusqu’au podium des « Femmes de l’année » que la Région a distinguées le 8 mars dernier.
Depuis qu’elle a troqué son stylo de journaliste chargée de couvrir “la locale” contre une plume qui révèle la femme pleinement capable de transformer l’exploit individuel des héros masculins en valeurs dans lesquelles milles enfants ont envie de se reconnaître, Isabelle Kichenin, rédactrice en chef de “Femme magazine”, s’est métamorphosée. Pour avoir connu hier la journaliste et découvrir la tranquille rebelle d’aujourd’hui, oui j’ose l’affirmer : elle s’est métamorphosée.
Elle a souri quand l’autre jour je le lui disais. De son sourire qui éclaire son visage en y posant un air de sérénité qui rime, je vous le dis, avec éternité.
Raymond Lauret
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Messages
24 mars 2007, 16:43, par G.Gauvin
Memona Affejee me rappelle le temps où les journalistes de RFO ou Fr3 étaient plus doués pour se mettre à quatre pattes devant le pouvoir répressif que d’afficher leur volonté de résistance.
Bien sur, c’était le temps où les seuls résistants se trouvaient dans l’autre camp, celui de la revendication de la dignité et de l’honneur du peuple réunionnais.
Certains d’entre nous ont payé cher cette soif d’honneur et de dignité.
Il n’y a pas si longtemps, un billet du JIR rappelait à Mémona qu’à une certaine époque, elle comme d’autres, ne se sont pas comportés comme l’aurait exigé leur déontologie de
journalistes.
Alors, je ne suis pas sensible à l’éclat de son regard ou de son visage.
Je suis étonné que M.lauret ne se souvienne pas de ce temps-là où pourtant, lui, a marché debout et non à quatre pattes comme d’autres l’ont fait.