
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
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3 février 2005
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OPARCAT : ce sigle ne fait pas partie de votre univers et on peut même penser que vous êtes nombreux à n’en avoir jamais entendu parler.
OPARCAT : il s’agit d’un dispositif mis en place il y a 15 ans à peine, en 1989, à l’initiative d’une association issue de la Chambre de commerce et d’industrie, de la Chambre des métiers et du Commissariat à l’aménagement des Hauts. Ce dispositif qui vise à favoriser le développement économique des Hauts de notre île et se définit en Opération programmée d’aménagement et de restructuration du commerce et de l’artisanat et du tourisme rural. Il est financé par la Région et l’État avec, jusqu’à il y a deux ans encore, des contributions de l’Europe, au titre du FEDER.
Le dispositif OPARCAT est un levier efficace du développement des Hauts. Je le vois bien tout au long de l’année lorsque les dossiers passent devant les élus de la Commission permanente du Conseil régional.
C’est ainsi que 2000 à 2004, près de 200 dossiers ont été examinés par le Comité de pilotage OPARCAT. Ces quelque 200 dossiers représentaient près de 8 millions 500.000 euros d’investissements qui ont bénéficié de près de 3 millions 200.000 euros de subvention. Les emplois créés ou confortés sont évalués à plus de 500 et, remarque on ne peut plus capitale, près de 95% des emplois créés (souvent par des demandeurs d’emplois ou des érémistes) passent le cap de référence des trois ans de survie.
C’est dire combien ce dispositif a pleinement rempli sa mission qui, au fil du temps, s’est précisée par l’aide à l’adaptation du commerce et de l’artisanat aux modes de consommation dans les Hauts ; par l’encouragement et l’accompagnement aux initiatives économiques ; par la réhabilitation et la rénovation des entreprises concernées ; par la diversification de la qualification des responsables d’entreprises et par la création d’emplois grâce à l’accroissement de la valeur ajoutée.
Depuis le mois de juin dernier, les responsables du dispositif OPARCAT ont eu à faire face à la baisse, jusqu’à sa disparition, de la part de financement de l’État. Cette disparition en 2004 laisse à penser que les 170.000 euros qui étaient attendus sur les près de 800.000 euros de subventions prévus au bénéfice du tissu entrepreneurial des Hauts, ne seront pas au rendez-vous.
À l’ARIPRAC - l’association inter consulaire -, le moral est à l’inquiétude. Qui va devoir supporter, seul, le désengagement de l’État ? Un transfert de compétence de plus qui ne s’accompagnera pas de transfert de moyens ? Personne n’ose le penser.
R. Lauret
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