
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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13 octobre 2004
Je n’hésite pas à le dire : je n’ai pas les qualités - et encore moins le talent - de certains éditorialistes pour évoquer les grands problèmes politiques de l’État. Mais le sang, qui circule dans mes veines et qui fait de moi un être sensible comme chacun d’entre vous, bouillait ce dimanche quand, à la télé, j’ai entendu Madame Brigitte Girardin parler de "processus normal de la démocratie" quand elle évoquait ce qui se passe actuellement en Polynésie.
Enfin, merde quoi !... Il y a eu des élections il y a à peine trois mois. Une majorité, courte certes, mais majorité tout de même, a été élue, qui a désigné le président de l’actuelle Assemblée territoriale.
Moins de trois mois après, le grand battu - M. Gaston Flosse - use de toute son influence - due à sa fortune et à ses amitiés élyséennes - pour faire “virer de bord” le nombre d’élus de la majorité nécessaire pour que celle-ci soit minoritaire.
On parle - je cite - de "manœuvre qui a consisté à mettre le pouvoir légitime élu de la Polynésie en situation d’être renversé". Un député UDF - oui, vous avez bien lu UDF - précise pour sa part que "les conditions dans lesquelles Gaston Flosse orchestre son retour au pouvoir sont des plus troubles et pourtant cautionnées par le gouvernement français".
Il s’agit, selon Oscar Temaru, le président de la Polynésie, "de pressions, de malversations, d’offres d’argent et de postes de prestige".
Oui, mon sang “bouille”. La France dont je suis fier, la France que j’aime, non, ce n’est pas celle dont des représentants, quels qu’ils soient, n’usent pas de leur autorité pour empêcher que de telles méthodes, des méthodes de voyous, aient cours.
Après le “je n’en ai rien à foutre” de M. Pasqua, ce qui s’est passé en Polynésie n’a rien de bien glorieux.
Comment voulez-vous que l’on parle de respect si les plus hauts responsables donnent le sentiment qu’ils peuvent, au nom de discutables raisons, s’asseoir sur la morale ?
Raymond Lauret
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