
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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30 décembre 2004
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À l’heure où j’écris ce billet - nous sommes le mercredi 29 décembre, 16 heures -, je sais que dans quelques instants je serai au siège de la S. S. Jeanne d’Arc où la commission départementale de contrôle et de gestion du football réunionnais va procéder à un état des lieux.
C’est ce qu’on appelle, dans le milieu, une visite inopinée à laquelle vous êtes informé la veille. Depuis ce matin, les trois personnes qui se sont dévouées pour tenter de rendre, le 7 janvier prochain, espoir à tous ceux qui souhaitent bon vent à la Jeanne, s’affairent. Daniel Lafosse me l’a confirmé en milieu de matinée.
De mon côté, je me suis efforcé de faire en sorte que les problèmes qui peuvent exister entre les hommes trouvent la plus sage et la meilleure des solutions possibles.
Dans ces mêmes colonnes, j’avais noté le 17 décembre dernier que "une rude bataille de procédure et d’interprétation des contrats et autres avenants s’annonce en perspective". Sur ce point, il faut le dire, les choses ont positivement évolué. Mais il reste que d’autres problèmes demeurent, qui m’incitent à la plus extrême réserve quant à l’avenir.
Il faut le dire et le dire encore jusqu’à ce que se manifestent des prises de conscience qui pourraient être salvatrices pour tout le football réunionnais.
Nul n’ignore que des contrats, dans notre île, se signent à 3 ou 4.000 euros. Qui paye ? Pas les recettes de guichet, de cela on en est certain. Qui donc ? Les sponsors ? Il y en a - nous en avons rencontré au moins un - qui ont décidé de se rebiffer. Les mairies ? Que pensent aujourd’hui et penseront encore plus demain les citoyens-contribuables et les sportifs des autres disciplines ?
Daniel Lafosse a, semble-t-il, obtenu l’adhésion de l’ensemble des éducateurs pour que l’on se serre la ceinture. Ce même Daniel Lafosse entend s’appuyer sur l’équipe espoir qui, cette année, a été championne de La Réunion et dont les éléments sont tous d’accord pour jouer et percevoir une indemnité raisonnable.
Restent tous les problèmes accumulés sur le plan de la gestion d’un club qui s’était attaché les services... d’un conseiller financier, lequel conseiller a disparu depuis deux ou trois mois ! Faut-il s’en étonner ?
Demeure la question : la Jeanne sera-t-elle sauvée ? Il est prudent, plus que jamais, d’être réservé... même si, au sortir de la dite réunion, puisqu’il est maintenant 21 heures, je respire un peu mieux.
R. Lauret
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