
Turbulence à la Mairie de Saint-André
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16 janvier 2007
Elle avait envisagé de se présenter, en fier et dernier rempart d’un gaullisme dont elle pensait qu’il devra encore (et toujours) inspirer les responsables de la Nation. Elle se serait donc présentée à cette élection présidentielle en dehors de ce qui reste du parti qui est le sien et qui fut aussi celui du Général de Gaulle, même sans les financements qui vont avec, même sans une investiture qui, laissait-elle entendre alors, lui importait peu face au défi moral et politique à relever. À cette élection, elle se serait présentée avec hardiesse et panache. Car, de la hardiesse et panache, elle en avait !
Et puis, pschittt... elle a fait pschittt !! Certains diront qu’“on” l’a sans doute raisonnée en lui expliquant que, demain, “on” aura toujours besoin d’une excellente Ministre des Armées et que, ma foi, elle pourrait continuer à être celle là. D’autres diront qu’on lui a expliqué son isolement en l’arraisonnant sur la certitude de sa défaite, défaite qu’on pourrait lui éviter au prix d’une énorme humiliation en organisant par exemple la difficulté pour elle de rassembler les fameuses 500 signatures ! Et puis il y a ceux qui, comme elle ou comme son compagnon de mari député UMP de son état, assurent depuis peu qu’il s’agit pour elle, Michèle Alliot Marie, de s’unir autour du candidat unique. Et ils l’ont dit, en osant regarder la France droit dans les yeux.
De ce fait, elle vient d’enrichir le vocabulaire français d’un autre nouveau mot : la “M.A.M’itude”.
R. Lauret
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Messages
16 janvier 2007, 03:19, par Alain KERHERVE
Vous délirez. Dire que l’UMP a été le parti de De Gaulle est une erreur, pire une faute. Jamais de Gaulle n’a appartenu à un parti (sauf le RPF d’après guerre). Et encore moins à l’UMP qui représente ce que de gaulle rejetait.
Ne mélangez pas ! Merci.
Alain KERHERVE www.gaullisme.fr
Voir en ligne : UMP, parti non gaulliste
1er février 2007, 13:00, par Alain KERHERVE
Contre de Gaulle, contre le gaullisme, l’UMP remet le couvert…
Pierre Lequiller, secrétaire national UMP en charge des affaires européennes, remet le couvert. Ignorant avec dédain le vote du 29 mai 2005 (55% des Français ont rejeté le projet de constitution européenne), Pierre Lequiller, à titre personnel dit-il , propose de passer outre.
Il préconise un texte plus court reprenant le Titre I du projet de constitution européenne qui, affirme-t-il sans s’étrangler dans un communiqué AFP du 25 janvier, n’a pas été contesté pendant la campagne référendaire. Sourd avant l’âge !...
Rappelons néanmoins que ce Titre I confirme l’orientation supranationale de la construction européenne, Europe dans laquelle les lois fédérales s’appliqueraient dans tous les domaines et s’imposeraient à tous les Etats membres, même en contradiction avec nos propres lois, y compris celle fondamentale : la constitution française.
En outre, serait conservée, se réjouit-il avec une constance jamais prise à défaut, l’extension du vote à la majorité qualifiée ; la marche, inéluctable à ses yeux, vers une Europe fédérale et ultralibérale est donc confirmée.
Il s’agit bien, dans ce cas, d’un transfert de souveraineté nationale, et non d’une délégation qui serait la règle dans une Europe confédérale, conception gaulliste faut-il le préciser, laissant le choix aux Etats composant l’Union de mener, librement, des politiques et projets communs (Ex : politique agricole commune, Airbus,…).
Le choix de la méthode est, elle aussi, anti-démocratique. Il convient, pour Pierre Lequiller, de contourner le votre populaire du 29 mai 2005 : donner au parlement le pouvoir de supprimer le vote majoritaire (55%) lors du référendum scélérat, celui où les Français "se sont trompés, ou "ont été trompés" comme se plaisent à radoter ceux qui, de l’UMP au PS et alliés, ont défendu avec acharnement le "oui".
Avec l’Allemagne d’Angela Merkel, tout est clair. La présidence européenne actuelle qu’elle assure se propose de faire la promotion du texte nouvellement rédigé, mais tout aussi dangereux pour la France et les Français, auprès des Etats européens, puis la présidence française de conclure dans la foulée en 2008. Et pour donner l’imprimatur nécessaire, le texte devrait être publié par la Fondation Robert Schumann, l’un des pères de l’Europe fédérale et ultralibérale.
Contre de Gaulle, contre ceux qui assument l’héritage du fondateur de la Vème République, avec l’accord fondamental du candidat Sarkozy et la bénédiction de Valéry Giscard d’Estaing, sous l’œil réjouit du monde anglo-saxon, Pierre Lequiller remet le couvert.
Extrait de l’éditorial n° 23 du 20/10/2004 d’Objectif-France Magazine :
"Mais, à toujours vouloir défendre sans retenue, ses convictions, Pierre Lequiller va bien plus loin. Le Secrétaire national UMP chargé des questions européennes porte un jugement historique négatif sur l’échec de la C.E.D. (Communauté européenne de défense) en 1954. Parlant de l’arrogance française il précise : « Cinquante ans après sa responsabilité historique dans l’échec de la C.E.D., notre pays va-t-il à nouveau mettre un coup d’arrêt brutal à la construction d’une Europe politique ? » Cette position est un acte d’agression envers ceux qui, à cette époque, ont évité que l’Armée française soit mise en tutelle sous domination américaine. Cette position est une attaque frontale contre le général de Gaulle, contre les gaullistes d’hier, notamment contre Michel Debré guerrier impitoyable contre ce projet, contre les gaullistes de conviction d’aujourd’hui qui se battent afin de conserver l’indépendance et la souveraineté de la France. Contrairement à ce qu’il affirme pour justifier le projet supranational, souhaiter une Europe différente n’est pas une arrogance française. Il s’agit aujourd’hui de préserver la France, de lui assurer la maîtrise de son destin, c’est-à-dire de ne jamais transférer (Mais accepter une délégation ciblée) une quelconque partie de sa souveraineté."
Dans cette campagne présidentielle, au-delà des clivages traditionnels gauche-droite d’un autre âge, une voix s’élève malgré le boycott des grands médias nationaux. Nicolas Dupont-Aignan porte l’espoir des gaullistes de conviction et des républicains des deux rives attachés à la Nation et à une France libre, moderne, sociale et solidaire.
Electeurs, attention ! Les candidats portés par la "vague people", Sarko et Ségolène depuis le début, mais aussi Bayrou aujourd’hui, demandent vos suffrages en 2007 pour mieux s’asseoir sur vos suffrages 2005. Une arnaque !
Alain KERHERVE
www.gaullisme.fr
Voir en ligne : L’UMP et l’Europe