
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
7 septembre 2004
Bon, admettons qu’étant de droite, même si vous critiquez la politique de l’U.M.P., il était de votre devoir de ne “ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain”. Admettons qu’en conséquence, après avoir défendu vos idées au 1er tour des cantonales du Tampon, vous n’alliez pas "appeler à voter à gauche sans renier des années d’engagement politique" et que vous vous êtes "désisté sans état d’âme". Admettons, car cela peut s’admettre.
Jusque là, vous ne me choquiez pas. Vous m’aviez seulement fait sourire : comme cela arrive parfois dans ce cas d’école, votre ralliement ayant surpris - voire irrité - plus d’un, vous avez lourdement contribué à accélérer la défaite de Jacquet et de Maryse. Bien malgré vous ? Certaines âmes pas charitables du tout prétendent que, tout compte fait, et pour le moyen terme, cela ne vous a pas déplu. Vous n’avez jamais dit que que ces âmes-là n’avaient rien de charitable, que je sache. Mais admettons encore, le bon Dieu un jour reconnaîtra les siens. Et venons-en à l’objet de cette lettre.
C’est “le Quotidien”, sous la plume de Yannick Bernardeau, qui lève le voile sur ce que l’on nous avait confié, à moi et à quelques autres, au soir de votre "désistement sans état d’âme". Vous qui percevez une (confortable) retraite du Trésor Public (où vous avez été inspecteur) ; vous qui touchez également une (bonne) retraite de sénateur (vous vous souvenez quand, dans l’hémicycle du Conseil régional, vous en causiez !!), vous voilà chargé d’une mission temporaire dans un organisme semi public à 3.500 euros (23.000 francs) par mois.
Que vous soyez compétent pour auditer les comptes de la RÉDÉTAR et proposer de nouvelles mesures de développement, peut-être ! Allez, je dis même : sûrement !
Que vous manquiez à l’élémentaire morale qui veut que lorsqu’on est un homme politique on se doit de donner l’exemple dans un pays où - vous soit rappelé en passant - il y a tant de jeunes diplômés sous-employés, cela vous colle désormais à la peau. Oh ! oui, alors ... Ça, oui...
Raymond Lauret
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