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12 octobre 2004
Ça a beau se passer là-bas, à Paris, dans les très hautes sphères de la très haute politique entre de très hautes personnalités, rien ne nous interdit de nous y intéresser, ne serait-ce que parce qu’il est assez choquant que cela n’a pas l’air de choquer plus que ça.
En apparence, le personnage central de notre affaire, c’est M. Charles Pasqua.
Gravement mis en cause par un juge d’instruction des grandes affaires, l’ancien ministre de l’Intérieur reçoit, en septembre dernier, un appel de l’épouse du chef de l’État qui désire lui témoigner son soutien.
C’est que, quelques jours auparavant, M. Pasqua avait reproché au président de la République de n’avoir rien fait pour éviter à Jean-Charles Marchiani l’incarcération. Il lui avait même signifié que son inaction était considérée comme un “lâchage”. Chacun le sait, on lâche ses amis, ses associés, peut-être ses comparses, lorsque l’on ne peut pas ou ne peut plus les cautionner dans ce qu’ils font ou ont fait.
Or, l’U.M.P. “organise” l’élection de M. Pasqua au Sénat, puisque nous sommes là avec des grands électeurs, c’est-à-dire des hommes et des femmes dont la particularité, c’est qu’ils sont “contrôlables”. Par exemple, dans le département des Hauts-de-Seine où il fallait 180 voix à M. Pasqua pour être élu, le seul Patrick Balkany, sarkoziste plein pot, en a assuré 98. M. Pasqua obtint 211. La consigne a bien été passée et ça a fonctionné comme sur des roulettes.
Et voilà que l’Elysée, au lendemain de cette élection, dépêche dès 8h30 un motard pour remettre en mains propres au nouveau sénateur un pli confidentiel qu’il est aisé d’imaginer porteur des félicitations présidentielles.
M. Pasqua est sous le coup d’inculpations multiples. Et cela, une élection au Sénat ne peut le gommer. Mais une élection au Sénat change radicalement la donne en matière de procédure et surtout de longueur de la procédure.
C’est sans doute pourquoi le tonitruant personnage pouvait dire à un journaliste qui l’interrogeait sur ses mises en examen : “Je n’en ai rien à foutre.”
Lui n’en a rien à foutre. La morale et l’opinion publique étant peut-être d’un avis totalement contraire, mais pourquoi donc certains, en haut lieu, soutiennent-ils à ce point ce pendu ?
Pasqua, seul personnage central dans son affaire ? Pas sûr....
Raymond Lauret
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