
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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18 janvier 2005
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Mercredi dernier, les États du “Club de Paris” qui, rappelons-le, regroupe les gouvernements des principaux pays les plus industrialisés de la planète, décidaient d’accorder un moratoire "immédiat et sans condition" sur leurs dettes à plusieurs pays touchés par le tsunami du 26 décembre dernier.
Dans l’état où ils se trouvent actuellement, on aurait pu penser que tous allaient se précipiter sur l’aubaine.
Eh ! bien, non, erreur totale ! On ne se bouscule pas au portillon de la soudaine générosité. L’Indonésie, par la voix de son ministre des Finances, Jusuf Anwar, a été claire. "Nous n’avons pas demandé de moratoire, a-t-il dit. S’il devait y avoir des conditions, nous aurions à les examiner d’abord."
Pour ce qui est de la Thaïlande, sa directrice du bureau de gestion de la dette publique, Pannee Sathavaradom, a été encore plus directe : "Nous n’avons pas besoin d’un moratoire. Nous ne sommes pas touchés au point de ne pas pouvoir payer nos dettes..."
Troisième cas : les Seychelles. Son président, James Michel, a déclaré : "Nous n’avons encore rien décidé. Nous hésitons à penser que cela serait bon pour les Seychelles. Il nous faut étudier attentivement toutes les conditions et clauses liées à ce moratoire."
Point n’est donc besoin de dessin pour comprendre que tout étalement d’une dette de pays pauvres signifie pour ces derniers qu’ils acceptent de se lier, pour un temps bien plus long encore, à des puissances qui les serrent déjà et les serreront davantage à la gorge selon les circonstances. Il est connu que plus le crédit est étiré dans le temps, plus les intérêts à payer sont lourds et plus vous êtes longtemps dépendants de celui qui "vous a sauvé la mise".
En fait, ce n’est pas aussi simple que cela. Mais une chose est sûre : les pays pauvres ont désormais une solide expérience de l’emprise néfaste des puissants. Quand ces derniers leur proposent de les aider, leur premier réflexe est de se méfier. C’est là un fait qui fait réfléchir.
R. Lauret
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